Les propos discourtois de Abdoulaye Wade à l’encontre du Président de la République, Monsieur Macky Sall, témoigne encore une fois de la volonté d’un homme dépaysé qui essaie de rallier les populations sénégalaises à sa cause personnelle qui est la libération de son fils, Karim Wade. Comme il a eu à le faire lorsqu’il était à la tête du pays, Abdoulaye Wade pense que la justice est un moyen de coercition que le président de la République peut user et abuser à sa guise pour condamner et blanchir qui il veut, sans une autre forme de procès. Il ne réalise toujours pas que le Sénégal a changé de mains et qu’il est en train d’être gouverné selon les principes de l’Etat de droit. Ce qui laisse entendre qu’en aucune manière, le président Macky Sall ne peut s’immiscer dans les affaires pendantes devant la justice.
Abdoulaye Wade, ce démagogue qui ne pense qu’à mettre le pays en lambeaux a, durant son magistère, essayé de manipuler la justice à plusieurs reprises pour traquer ses adversaires politiques et faire taire ses détracteurs de la société civile. Il pense alors que le Président de la République, Macky Sall est dans cette même logique. Or, il est avéré que Monsieur Karim Wade est possesseur de biens dont il n’est pas en mesure de justifier de leurs origines licites. Dans ce cas, il ne peut s’empêcher de tomber sous les dispositions de la loi sur l’enrichissement illicite.
En tant que dealer, et sentant la condamnation imminente et inévitable de son fils, Wade père tente de vider ses dernières cartouches pour dire je vais mourir mais je ne mourrai pas seul. A cette étape du déroulement des choses, je suis sûr qu’il est en train de regretter deux choses. La première c’est d’avoir mis son fils au devant de la scène politique en le qualifiant d’être le plus intelligent d’entre tous. En plus de cela, il lui avait confié tous les grands ministères de ce pays à l’exception d’une partie du ministère des finances (il était en même temps ministre de la coopération internationale) et du ministère des affaires étrangères au détriment de ses anciens compagnons qui ont été sur les fronts avant de le porter à tête de la magistrature suprême. L’on se rappelle que c’est Karim Wade qui a été à l’origine des départs du gouvernement et de Idrissa Seck et de Macky Sall tous anciens premiers ministres de Wade.
La deuxième chose qui a causé sa perte alors qu’il a pris le record du tripatouillage de la constitution au Sénégal, c’est d’avoir oublié d’abroger la loi sur l’enrichissement illicite qui était en veilleuse certes mais qui n’avait jamais disparu de l’architecture judiciaire de notre pays. Je me rappelle en première de droit à l’Université en 2007, la CREI était comptée parmi les juridictions du Sénégal et enseignée dans le cours d’institutions judiciaires. Et elle n’est d’ailleurs pas la seule juridiction d’exception du pays car en plus de la CREI, nous avons d’autres juridictions d’exception comme la Cour d’Assises (Cour Criminelle aujourd’hui), le tribunal militaire, le tribunal pour enfant, le tribunal du commerce et même le tribunal du travail qui sont tous des juridictions d’exception par rapport à leurs règles de procédure et de fonctionnement.
Au plan international, nous avons aussi la Cour Pénale internationale, le Tribunal Pénal international pour l’ex Yougoslavie et le Tribunal Pénal International pour l’ex Rwanda qui ont tous fonctionné selon des procédures méconnues des tribunaux ordinaires.
Pour revenir à l’homme Abdoulaye Wade, je dois rappeler ses immixtions dans le fonctionnement de la justice avec notamment le contentieux qui avait opposé l’Etat du Sénégal au sieur Idrissa Seck ancien premier ministre du Sénégal. Abdoulaye Wade avait déclaré publiquement qu’il avait lui-même blanchi monsieur Idrissa Seck dans l’affaire dite des chantiers de Thies. Pire encore dans l’affaire Maitre Babacar Seye, Abdoulaye Wade s’est précipité pour gracier puis amnistier à travers la loi Aisan des personnes reconnues coupables d’assassinat sur l’éminent avocat qu’était Maître Sèye. Quels liens avait-t-il avec ces assassins pour les sortir de prison aussitôt après son accès au pouvoir ?
Sous le magistère d’Abdoulaye Wade également, des journalistes ont été vandalisés, des rédactions saccagées (L'As et 24 Heures Chrono) parce qu’ils exerçaient leur devoir d’informer juste et vrai. Farba Senghor a été désigné par la plupart des prévenus d’alors comme étant l’instigateur de tels agissements mais il n’a jamais été inquiété. Pourquoi ? Parce qu’il était protégé par Abdoulaye Wade.
C’est dire donc que l’homme qui s’attaque aujourd’hui au président de la République Macky Sall est un homme qui a certes fait beaucoup de choses pour l’avancement de ce pays mais il est également un homme égoïste qui ne veut pas que les chantiers du président Macky Sall sortent de terre. C’est pourquoi il cherche à créer le désordre dans ce pays en faisant croire aux sénégalais que son fils est blanc comme neige et qu’il n’a pas l’obligation de rendre compte comme l’ont tous les autres sénégalais.
Abdoulaye Wade est aux abois au moment où la CREI s’apprête à rendre son arrêt. Peut-être qu’il sait déjà qu’aucune échappatoire ne s’offre à son fils et que la vérité va triompher au grand jour. Il est en train donc de livrer son dernier combat, celui de la bataille d’opinion. Mais avec les propos démesurés qu’il a tenus à l’encontre du président Macky Sall, il risque de perdre et la bataille judiciaire et la bataille de l’opinion car quand l’opinion saura où se trouve la vérité, elle choisira son camp.
Quoiqu’il en soit, le président Macky Sall doit être fier aujourd’hui de diriger ce pays qui n’envie aucun autre pays pour ses richesses culturelles et religieuses mais aussi pour la qualité de ses ressources humaines. S’il a su gravir tous les échelons pour accéder à la magistrature suprême c’est parce qu’il est issu d’une bonne famille et reçu une bonne éducation. La preuve en est qu’il est devenu aujourd’hui le premier citoyen sénégalais, le gardien de la constitution comme le rappelle souvent El Hadji Mansour Mbaye.
PAPA DEMBA CISSOKHO
JEUNESSES APERISTES SAINT-LOUIS
TEL : 77 790 80 97
Abdoulaye Wade, ce démagogue qui ne pense qu’à mettre le pays en lambeaux a, durant son magistère, essayé de manipuler la justice à plusieurs reprises pour traquer ses adversaires politiques et faire taire ses détracteurs de la société civile. Il pense alors que le Président de la République, Macky Sall est dans cette même logique. Or, il est avéré que Monsieur Karim Wade est possesseur de biens dont il n’est pas en mesure de justifier de leurs origines licites. Dans ce cas, il ne peut s’empêcher de tomber sous les dispositions de la loi sur l’enrichissement illicite.
En tant que dealer, et sentant la condamnation imminente et inévitable de son fils, Wade père tente de vider ses dernières cartouches pour dire je vais mourir mais je ne mourrai pas seul. A cette étape du déroulement des choses, je suis sûr qu’il est en train de regretter deux choses. La première c’est d’avoir mis son fils au devant de la scène politique en le qualifiant d’être le plus intelligent d’entre tous. En plus de cela, il lui avait confié tous les grands ministères de ce pays à l’exception d’une partie du ministère des finances (il était en même temps ministre de la coopération internationale) et du ministère des affaires étrangères au détriment de ses anciens compagnons qui ont été sur les fronts avant de le porter à tête de la magistrature suprême. L’on se rappelle que c’est Karim Wade qui a été à l’origine des départs du gouvernement et de Idrissa Seck et de Macky Sall tous anciens premiers ministres de Wade.
La deuxième chose qui a causé sa perte alors qu’il a pris le record du tripatouillage de la constitution au Sénégal, c’est d’avoir oublié d’abroger la loi sur l’enrichissement illicite qui était en veilleuse certes mais qui n’avait jamais disparu de l’architecture judiciaire de notre pays. Je me rappelle en première de droit à l’Université en 2007, la CREI était comptée parmi les juridictions du Sénégal et enseignée dans le cours d’institutions judiciaires. Et elle n’est d’ailleurs pas la seule juridiction d’exception du pays car en plus de la CREI, nous avons d’autres juridictions d’exception comme la Cour d’Assises (Cour Criminelle aujourd’hui), le tribunal militaire, le tribunal pour enfant, le tribunal du commerce et même le tribunal du travail qui sont tous des juridictions d’exception par rapport à leurs règles de procédure et de fonctionnement.
Au plan international, nous avons aussi la Cour Pénale internationale, le Tribunal Pénal international pour l’ex Yougoslavie et le Tribunal Pénal International pour l’ex Rwanda qui ont tous fonctionné selon des procédures méconnues des tribunaux ordinaires.
Pour revenir à l’homme Abdoulaye Wade, je dois rappeler ses immixtions dans le fonctionnement de la justice avec notamment le contentieux qui avait opposé l’Etat du Sénégal au sieur Idrissa Seck ancien premier ministre du Sénégal. Abdoulaye Wade avait déclaré publiquement qu’il avait lui-même blanchi monsieur Idrissa Seck dans l’affaire dite des chantiers de Thies. Pire encore dans l’affaire Maitre Babacar Seye, Abdoulaye Wade s’est précipité pour gracier puis amnistier à travers la loi Aisan des personnes reconnues coupables d’assassinat sur l’éminent avocat qu’était Maître Sèye. Quels liens avait-t-il avec ces assassins pour les sortir de prison aussitôt après son accès au pouvoir ?
Sous le magistère d’Abdoulaye Wade également, des journalistes ont été vandalisés, des rédactions saccagées (L'As et 24 Heures Chrono) parce qu’ils exerçaient leur devoir d’informer juste et vrai. Farba Senghor a été désigné par la plupart des prévenus d’alors comme étant l’instigateur de tels agissements mais il n’a jamais été inquiété. Pourquoi ? Parce qu’il était protégé par Abdoulaye Wade.
C’est dire donc que l’homme qui s’attaque aujourd’hui au président de la République Macky Sall est un homme qui a certes fait beaucoup de choses pour l’avancement de ce pays mais il est également un homme égoïste qui ne veut pas que les chantiers du président Macky Sall sortent de terre. C’est pourquoi il cherche à créer le désordre dans ce pays en faisant croire aux sénégalais que son fils est blanc comme neige et qu’il n’a pas l’obligation de rendre compte comme l’ont tous les autres sénégalais.
Abdoulaye Wade est aux abois au moment où la CREI s’apprête à rendre son arrêt. Peut-être qu’il sait déjà qu’aucune échappatoire ne s’offre à son fils et que la vérité va triompher au grand jour. Il est en train donc de livrer son dernier combat, celui de la bataille d’opinion. Mais avec les propos démesurés qu’il a tenus à l’encontre du président Macky Sall, il risque de perdre et la bataille judiciaire et la bataille de l’opinion car quand l’opinion saura où se trouve la vérité, elle choisira son camp.
Quoiqu’il en soit, le président Macky Sall doit être fier aujourd’hui de diriger ce pays qui n’envie aucun autre pays pour ses richesses culturelles et religieuses mais aussi pour la qualité de ses ressources humaines. S’il a su gravir tous les échelons pour accéder à la magistrature suprême c’est parce qu’il est issu d’une bonne famille et reçu une bonne éducation. La preuve en est qu’il est devenu aujourd’hui le premier citoyen sénégalais, le gardien de la constitution comme le rappelle souvent El Hadji Mansour Mbaye.
PAPA DEMBA CISSOKHO
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