‘’Je suis surpris par cette décision et tiens à informer tous les citoyens sénégalais que nous avons déposé un nombre de signatures largement supérieur au nombre de 10 000 annoncés’’, a dit le docteur Sarr, dans une déclaration dont copie a été transmise à l’APS.
‘’Un recours est introduit et nous sommes confiants que notre candidature sera validée après vérification’’, a-t-il indiqué, suite à la publication de la liste des candidats qui a occasionné des manifestations violentes à Dakar et dans plusieurs autres villes. Un policier a perdu la vie à Colobane.
Selon l’arrêté du Conseil constitutionnel, Abdourahmane Sarr ‘’a produit une liste de 10.000 électeurs appuyant sa candidature dont seuls huit mille cents (8.100) ont pu être identifiés et leurs signatures validées ; que dès lors, sa candidature qui ne répond pas aux prescriptions de l’article LO 116 doit être déclarée irrecevable’’.
Après délibération, le Conseil constitutionnel a invalidé trois des 17 candidatures qui lui étaient soumises. En plus de la candidature d’Abdourahmane Sarr, celles de Youssou Ndour et Kéba Keinde ont été déclarées irrecevables pour la même raison.
Les juges ont retenu les candidatures du président sortant Abdoulaye Wade, de trois anciens Premiers ministres (Macky Sall, Idrissa Seck et Moustapha Niasse), des anciens ministres des Affaires étrangères (Cheikh Tidiane Gadio et Ibrahima Fall), des anciens ministres (Doudou Ndoye, Ousmane Tanor Dieng et Djibril Ngom).
Parmi les candidatures retenues, il y a aussi celles de deux femmes, la styliste Diouma Diakhaté et le professeur d’université Amsatou Sow Sidibé, celle de l’expert-comptable Mor Dieng et celles des ingénieurs Cheikh Mamadou Abiboulaye Dièye (Bamba) et Oumar Hassimou Dia.
Moins heureux, Abdourahmane Sarr, né le 26 mars 1968 à Paris, est quant à lui leader du Mouvement pour la renaissance, la liberté et le développement/Moom Sa Bopp Mënël Sa Bopp (MRLD).
Docteur en économie, le candidat est un ancien représentant du Fonds monétaire international (FMI) au Bénin et au Togo. Il a démissionné de ce poste en octobre dernier.
Début janvier, Dr Sarr affichait sa volonté de ‘’rompre avec le centralisme d’Etat d’une part et introduire des monnaies locales complémentaires et non concurrentes avec le franc CFA d’autre part, afin de permettre aux populations de prendre leur destin en main’’.
Pour mettre en œuvre sa vision, il a indiqué qu’il comptait mener une politique de décentralisation bâtie sur la division du pays en cinq pôles ‘’économiquement intégrés’’ les uns aux autres et disposant chacun d’une grande ville comme ‘’épicentre’’.
‘’Un recours est introduit et nous sommes confiants que notre candidature sera validée après vérification’’, a-t-il indiqué, suite à la publication de la liste des candidats qui a occasionné des manifestations violentes à Dakar et dans plusieurs autres villes. Un policier a perdu la vie à Colobane.
Selon l’arrêté du Conseil constitutionnel, Abdourahmane Sarr ‘’a produit une liste de 10.000 électeurs appuyant sa candidature dont seuls huit mille cents (8.100) ont pu être identifiés et leurs signatures validées ; que dès lors, sa candidature qui ne répond pas aux prescriptions de l’article LO 116 doit être déclarée irrecevable’’.
Après délibération, le Conseil constitutionnel a invalidé trois des 17 candidatures qui lui étaient soumises. En plus de la candidature d’Abdourahmane Sarr, celles de Youssou Ndour et Kéba Keinde ont été déclarées irrecevables pour la même raison.
Les juges ont retenu les candidatures du président sortant Abdoulaye Wade, de trois anciens Premiers ministres (Macky Sall, Idrissa Seck et Moustapha Niasse), des anciens ministres des Affaires étrangères (Cheikh Tidiane Gadio et Ibrahima Fall), des anciens ministres (Doudou Ndoye, Ousmane Tanor Dieng et Djibril Ngom).
Parmi les candidatures retenues, il y a aussi celles de deux femmes, la styliste Diouma Diakhaté et le professeur d’université Amsatou Sow Sidibé, celle de l’expert-comptable Mor Dieng et celles des ingénieurs Cheikh Mamadou Abiboulaye Dièye (Bamba) et Oumar Hassimou Dia.
Moins heureux, Abdourahmane Sarr, né le 26 mars 1968 à Paris, est quant à lui leader du Mouvement pour la renaissance, la liberté et le développement/Moom Sa Bopp Mënël Sa Bopp (MRLD).
Docteur en économie, le candidat est un ancien représentant du Fonds monétaire international (FMI) au Bénin et au Togo. Il a démissionné de ce poste en octobre dernier.
Début janvier, Dr Sarr affichait sa volonté de ‘’rompre avec le centralisme d’Etat d’une part et introduire des monnaies locales complémentaires et non concurrentes avec le franc CFA d’autre part, afin de permettre aux populations de prendre leur destin en main’’.
Pour mettre en œuvre sa vision, il a indiqué qu’il comptait mener une politique de décentralisation bâtie sur la division du pays en cinq pôles ‘’économiquement intégrés’’ les uns aux autres et disposant chacun d’une grande ville comme ‘’épicentre’’.
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