
Au courant de l’année 2021, le sieur Mbaye Niang achète une moto de marque Jakarta à quatre cent vingt mille FCfa. Il voulait ainsi avoir une autre source de revenus. Pour ce faire, il confie l’engin au nommé Pape Bouba Baldé. Celui-ci lui avait déclaré être un livreur. Ils s’accordent sur le protocole qui consiste à lui verser chaque jour, trois mille cinq cent FCfa.
Au courant du mois décembre 2021, le mis en cause est resté une semaine sans pour autant respecter l’accord. Celui -ci le joint quelques jours après, lui annonçant que la moto a été volée. Plus tard, c’est un autre individu qui joint la victime, pour lui demander de lui envoyer via whatshapp, les pièces afférentes à la moto.
Interpellé sur les circonstances du vol de la moto, le mis en cause explique que c’était au moment où il prenait son petit déjeuner dans une gargote à la cité Fadia. Confondu, il est revenu sur ses déclarations, soutenant qu’il avait remis la moto à un individu dont il ignore l’identité.
Interpellé au chapitre des retards des versements, le mis en cause a d’abord déclaré qu’il l’avait égarée, avant de revenir sur ses propos pour soutenir qu’il a utilisé les recettes à d’autres fins. Face aux limiers, le mis en cause a reconnu les faits qui lui sont reprochés.
« J’avais loué la moto au sieur Toumani sans autorisation du propriétaire puisque que j’étais malade. Malheureusement, le sieur Toumani a abusé de ma confiance », s’est-il défendu.
Quant à l’individu qui avait appelé pour disposer des pièces de la moto, le mis en cause a expliqué qu’il s’agissait d’un policier qui l’avait arrêté, alors qu’il ne disposait pas des papiers de ladite moto. Il a reconnu également avoir utilisé l’argent du versement quotidien, à d’autres fins. Il a été ainsi arrêté et déféré au parquet.
Au courant du mois décembre 2021, le mis en cause est resté une semaine sans pour autant respecter l’accord. Celui -ci le joint quelques jours après, lui annonçant que la moto a été volée. Plus tard, c’est un autre individu qui joint la victime, pour lui demander de lui envoyer via whatshapp, les pièces afférentes à la moto.
Interpellé sur les circonstances du vol de la moto, le mis en cause explique que c’était au moment où il prenait son petit déjeuner dans une gargote à la cité Fadia. Confondu, il est revenu sur ses déclarations, soutenant qu’il avait remis la moto à un individu dont il ignore l’identité.
Interpellé au chapitre des retards des versements, le mis en cause a d’abord déclaré qu’il l’avait égarée, avant de revenir sur ses propos pour soutenir qu’il a utilisé les recettes à d’autres fins. Face aux limiers, le mis en cause a reconnu les faits qui lui sont reprochés.
« J’avais loué la moto au sieur Toumani sans autorisation du propriétaire puisque que j’étais malade. Malheureusement, le sieur Toumani a abusé de ma confiance », s’est-il défendu.
Quant à l’individu qui avait appelé pour disposer des pièces de la moto, le mis en cause a expliqué qu’il s’agissait d’un policier qui l’avait arrêté, alors qu’il ne disposait pas des papiers de ladite moto. Il a reconnu également avoir utilisé l’argent du versement quotidien, à d’autres fins. Il a été ainsi arrêté et déféré au parquet.