
Elle est l’aube qui lève le jour,
Le doux climat après l’orage lourd.
Ses mains sculptent le pain, façonnent l’espoir,
Elle bâtit l’amour sur le socle du devoir.
Ses pas résonnent dans les sillons fertiles,
Ombre bienveillante sous le ciel docile.
Chaque grain semé, chaque goutte versée,
Chante la force d’une âme apaisée.
Elle plie sans jamais se briser,
Porte le monde sans le montrer.
Dans l’ombre, elle tisse des fils d’or,
Sans attendre louanges ni décor.
Ses yeux sont un ciel de tendresse,
Un reflet de patience, une infinie sagesse.
Quand l’enfant pleure, elle est berceau,
Quand l’homme tombe, elle est flambeau.
Dans le silence des champs et des veillées,
Elle sculpte l’avenir de ses doigts fatigués.
Ses prières s’élèvent comme des feuilles dans le vent,
Portant l’écho d’un amour constant.
Elle est la pierre sur laquelle repose l’histoire,
Un souffle discret, un cri de victoire.
Que son nom résonne dans l’éternité,
Car sans elle, rien ne saurait briller.
Le doux climat après l’orage lourd.
Ses mains sculptent le pain, façonnent l’espoir,
Elle bâtit l’amour sur le socle du devoir.
Ses pas résonnent dans les sillons fertiles,
Ombre bienveillante sous le ciel docile.
Chaque grain semé, chaque goutte versée,
Chante la force d’une âme apaisée.
Elle plie sans jamais se briser,
Porte le monde sans le montrer.
Dans l’ombre, elle tisse des fils d’or,
Sans attendre louanges ni décor.
Ses yeux sont un ciel de tendresse,
Un reflet de patience, une infinie sagesse.
Quand l’enfant pleure, elle est berceau,
Quand l’homme tombe, elle est flambeau.
Dans le silence des champs et des veillées,
Elle sculpte l’avenir de ses doigts fatigués.
Ses prières s’élèvent comme des feuilles dans le vent,
Portant l’écho d’un amour constant.
Elle est la pierre sur laquelle repose l’histoire,
Un souffle discret, un cri de victoire.
Que son nom résonne dans l’éternité,
Car sans elle, rien ne saurait briller.