Elle solde ses comptes avec ses détracteurs : «Chacun voit ce qu’il a envie de voir. A coup sûr, je ne suis pas venue à l’Assemblée pour me promener. J’ai fait cinq ans à l’Assemblée et je n’ai jamais été associée à des polémiques. Je me suis toujours habillée de la sorte : j’adore les tailles-basses. Je n’en ai pas mis ce jour-là pour que les gens me regardent. L’habit ne fait pas le moine. On n’a pas le droit de juger une personne en fonction de son style vestimentaire. Au sein même de l’Assemblée, il y a des députés qui s’habillent avec des tenues courtes, cela ne fait pas d’elles des mauvaises personnes».
Elle réplique aux féministes : «Parmi celles qui m’ont critiquée ouvertement, j’en ai vu qui se prétendent féministes. Elles ont fait pire en faisant des shootings photos en petite tenue. Personne n’a trouvé à redire et ce sont elles qui se permettent de jeter le discrédit sur moi, de tenir des propos désobligeants sur des femmes. Qu’ai-je fait de mal ? L’Assemblée nationale est mon lieu de travail, j’y suis avec mes collègues, j’ai le droit d’y marcher et de vaquer à mes occupations. N’en déplaise à certains».
«Ma morphologie ne passe pas inaperçue»
«Ce n’est pas de ma faute si j’ai été filmée à mon insu. J’ai aussi une morphologie qui ne passe pas inaperçue. Ce n’est pas de ma faute. Je ne vais pas me cacher. Je ne me suis pas montrée, on m’a montrée. Ceux qui me critiquent, ne me connaissent même pas. Je suis une femme responsable, discrète, qui travaille dans son coin».
«Je voulais simplement me préserver des mauvaises langues puisqu’il y avait beaucoup de palabres.
J’assume ce que j’ai fait et porté. Il n’y a rien de mal. D’ailleurs, j’estime qu’il y a plus important à dire sur ce qui s’est passé à l’Assemblée. Des députés se sont donnés en spectacle et ont montré qu’ils n’en avaient rien à faire des populations et servaient plutôt leurs propres intérêts.»
Elle réplique aux féministes : «Parmi celles qui m’ont critiquée ouvertement, j’en ai vu qui se prétendent féministes. Elles ont fait pire en faisant des shootings photos en petite tenue. Personne n’a trouvé à redire et ce sont elles qui se permettent de jeter le discrédit sur moi, de tenir des propos désobligeants sur des femmes. Qu’ai-je fait de mal ? L’Assemblée nationale est mon lieu de travail, j’y suis avec mes collègues, j’ai le droit d’y marcher et de vaquer à mes occupations. N’en déplaise à certains».
«Ma morphologie ne passe pas inaperçue»
«Ce n’est pas de ma faute si j’ai été filmée à mon insu. J’ai aussi une morphologie qui ne passe pas inaperçue. Ce n’est pas de ma faute. Je ne vais pas me cacher. Je ne me suis pas montrée, on m’a montrée. Ceux qui me critiquent, ne me connaissent même pas. Je suis une femme responsable, discrète, qui travaille dans son coin».
«Je voulais simplement me préserver des mauvaises langues puisqu’il y avait beaucoup de palabres.
J’assume ce que j’ai fait et porté. Il n’y a rien de mal. D’ailleurs, j’estime qu’il y a plus important à dire sur ce qui s’est passé à l’Assemblée. Des députés se sont donnés en spectacle et ont montré qu’ils n’en avaient rien à faire des populations et servaient plutôt leurs propres intérêts.»