Les élus locaux de Kolda saluent la démarche de communication sur l’Acte 3 de la décentralisation. Ils n’ont pas manqué de s’engager, publiquement, pour servir de relais auprès des populations jusque dans les villages les plus reculés.
Certains d’entre eux sont revenus sur les avantages de la communalisation intégrale, avec la possibilité pour les nouveaux maires d’explorer d’autres sources de financement. "C’est une injustice corrigée", disent-ils sans toutefois manquer de se poser des questions sur le sort des anciens présidents de communautés rurales et le devenir des assistants communautaires.
Le profil sera dégagé en tenant compte du fait que l’illettrisme est très développé au Sénégal, a semblé dire Alassane Mbengue, Directeur des Collectivités locales. Pour les Conseils départementaux, le président devrait être de niveau Bac + 3. S’agissant des communes, les diplômes requis pourraient être le Bac ou le BFEM. Mais indique le M. Mbengue, « limitons-nous au savoir lire et écrire". Des moyens d’accompagnement comme la formation des maires sont prévus, a-t-il ajouté.
La caravane de communication et de sensibilisation de l’Acte 3 a fait des émissions radio en français et en langues locales dans les trois régions de la Casamance (Ziguinchor, Sédhiou et Kolda), organisé des "road show" dans les artères des villes, produit des représentations théâtrales sur les thématiques de la réforme avec la troupe Kocc Barma de Rufisque…
Certains d’entre eux sont revenus sur les avantages de la communalisation intégrale, avec la possibilité pour les nouveaux maires d’explorer d’autres sources de financement. "C’est une injustice corrigée", disent-ils sans toutefois manquer de se poser des questions sur le sort des anciens présidents de communautés rurales et le devenir des assistants communautaires.
Le profil sera dégagé en tenant compte du fait que l’illettrisme est très développé au Sénégal, a semblé dire Alassane Mbengue, Directeur des Collectivités locales. Pour les Conseils départementaux, le président devrait être de niveau Bac + 3. S’agissant des communes, les diplômes requis pourraient être le Bac ou le BFEM. Mais indique le M. Mbengue, « limitons-nous au savoir lire et écrire". Des moyens d’accompagnement comme la formation des maires sont prévus, a-t-il ajouté.
La caravane de communication et de sensibilisation de l’Acte 3 a fait des émissions radio en français et en langues locales dans les trois régions de la Casamance (Ziguinchor, Sédhiou et Kolda), organisé des "road show" dans les artères des villes, produit des représentations théâtrales sur les thématiques de la réforme avec la troupe Kocc Barma de Rufisque…