Les données statistiques du rapport rendent compte de son activité quotidienne de réception et d’enregistrement des plaintes. Contrairement à la tendance généralement observée les années précédentes, les saisines de l’OFNAC par voie de courrier électroniques, présentent une certaine prédominance par rapport aux autres modes de saisine. Elles ont représenté 53% des plaintes reçues.
Les plaintes anonymes ont représenté 17% en 2023, soit 6 points de moins que l’année antérieure (26,31%).
Les plaintes provenant de la région de Dakar culminent à vingt-cinq (25) et occupent le premier rang devant celles provenant de personnes résidant à Thiès (neuf (9). Les autres régions comptabilisent des taux relativement faibles.
Par ailleurs, souligne le rapport, il convient de souligner qu’aucune plainte en provenance des régions de Kédougou, Sédhiou, Kolda et Matam, n’a été reçue.
Mais aussi, une plainte provenant de l’étranger a été enregistrée. Il s’agit de la ville de Genève en Suisse, même si elle n’est pas comptabilisée dans le tableau contenu dans le rapport.
Cependant, cinq (5) plaintes ont été reçues de la part de groupements ou de collectifs, mais elles ne sont pas comptabilisées dans le tableau, en raison de la difficulté d’identification du genre du plaignant.
Le rapport note aussi qu’à l’instar des autres années, on note une forte majorité de plaintes déposées par des personnes de sexe masculin.
Sous réserve des dossiers reçus sous le sceau de l’anonymat ou déposés par des collectifs, les femmes ont été peu nombreuses à dénoncer des faits de fraude, de corruption ou d’infractions assimilées.
Les autres faits visés (17), ont porté sur des infractions diverses, dont certaines ne relèvent pas de la compétence de l’Office.
Ces plaintes font l’objet d’un classement sans suite après étude. La décision de classement est portée aussitôt à l’attention du plaignant, si ce dernier est identifiable.
Les plaintes anonymes ont représenté 17% en 2023, soit 6 points de moins que l’année antérieure (26,31%).
Les plaintes provenant de la région de Dakar culminent à vingt-cinq (25) et occupent le premier rang devant celles provenant de personnes résidant à Thiès (neuf (9). Les autres régions comptabilisent des taux relativement faibles.
Par ailleurs, souligne le rapport, il convient de souligner qu’aucune plainte en provenance des régions de Kédougou, Sédhiou, Kolda et Matam, n’a été reçue.
Mais aussi, une plainte provenant de l’étranger a été enregistrée. Il s’agit de la ville de Genève en Suisse, même si elle n’est pas comptabilisée dans le tableau contenu dans le rapport.
Cependant, cinq (5) plaintes ont été reçues de la part de groupements ou de collectifs, mais elles ne sont pas comptabilisées dans le tableau, en raison de la difficulté d’identification du genre du plaignant.
Le rapport note aussi qu’à l’instar des autres années, on note une forte majorité de plaintes déposées par des personnes de sexe masculin.
Sous réserve des dossiers reçus sous le sceau de l’anonymat ou déposés par des collectifs, les femmes ont été peu nombreuses à dénoncer des faits de fraude, de corruption ou d’infractions assimilées.
Les autres faits visés (17), ont porté sur des infractions diverses, dont certaines ne relèvent pas de la compétence de l’Office.
Ces plaintes font l’objet d’un classement sans suite après étude. La décision de classement est portée aussitôt à l’attention du plaignant, si ce dernier est identifiable.