
Toutes ses sociétés qui détiennent des comptes ouverts dans les livres d’Orabank, avaient bénéficié de crédits immédiats, après avoir créé de flux financiers entre elles, à travers des chèques revenus sans provisions.
D’après "Libération", quand l’opérateur économique Moussa Ndiaye de la société Sam Sam Sarl, a été interpellé, il a prétendu que les sommes tirées des chèques reçues de ses supposés clients, notamment la Compagnie de commerce et d’industrie Sa, Tiema Transit et Sogeci company Sa, étaient destinés à l’achat d’huile à un prix intéressant, puis à la revente, pour réaliser ainsi des marges importantes, alors que la situation des comptes des tirés ne permettent pas la couverture de l’ensemble des chèques remis à l’encaissement avec crédit immédiat, lesquels du reste ont tous fait l’objet de rejet pour défaut de provision.
Les mis en cause ont commencé à solliciter des remises de chèque avec crédit immédiat et procédé à des retraits d’espèces, qu’ils prétextaient remettre à leurs prétendus fournisseurs mais qui, en réalité, servaient à rembourser les emprunts antérieurs de leurs complices et co-auteurs.
Après avoir amadoué leur chargé de compte, les mis en cause ont commencé à multiplier les prêts transactions sur une période de quatre mois, faisant ainsi croire que leurs activités étaient florissantes avec des mouvements de crédits de plus de 40 milliards FCfa sur les différents comptes ouverts à Orabank.
Ce procédé n’était en fait qu’un écran servant à dissimuler les opérations commerciales et à faire passer pour des gains, des sommes issues de nouvelles remises de chèques avec crédit immédiat.
L’enquête de la DIC a révélé que certaines sociétés en cause seraient des prête-noms. Déjà que toutes les personnes concernées sont nées dans la même zone (entre Thiès et Tivaouane). La mafia a pu détourner les six milliards FCfa grâce à des complicités internes.
D’après "Libération", quand l’opérateur économique Moussa Ndiaye de la société Sam Sam Sarl, a été interpellé, il a prétendu que les sommes tirées des chèques reçues de ses supposés clients, notamment la Compagnie de commerce et d’industrie Sa, Tiema Transit et Sogeci company Sa, étaient destinés à l’achat d’huile à un prix intéressant, puis à la revente, pour réaliser ainsi des marges importantes, alors que la situation des comptes des tirés ne permettent pas la couverture de l’ensemble des chèques remis à l’encaissement avec crédit immédiat, lesquels du reste ont tous fait l’objet de rejet pour défaut de provision.
Les mis en cause ont commencé à solliciter des remises de chèque avec crédit immédiat et procédé à des retraits d’espèces, qu’ils prétextaient remettre à leurs prétendus fournisseurs mais qui, en réalité, servaient à rembourser les emprunts antérieurs de leurs complices et co-auteurs.
Après avoir amadoué leur chargé de compte, les mis en cause ont commencé à multiplier les prêts transactions sur une période de quatre mois, faisant ainsi croire que leurs activités étaient florissantes avec des mouvements de crédits de plus de 40 milliards FCfa sur les différents comptes ouverts à Orabank.
Ce procédé n’était en fait qu’un écran servant à dissimuler les opérations commerciales et à faire passer pour des gains, des sommes issues de nouvelles remises de chèques avec crédit immédiat.
L’enquête de la DIC a révélé que certaines sociétés en cause seraient des prête-noms. Déjà que toutes les personnes concernées sont nées dans la même zone (entre Thiès et Tivaouane). La mafia a pu détourner les six milliards FCfa grâce à des complicités internes.