L'idée de construire une centrale électrique à gaz n'est pas nouvelle. Mais qui, mis à part Samuel Sarr, pouvait matérialiser ce projet ? Lorsque l'ancien ministre de l'Energie sous Wade s'est décidé à le mettre en œuvre, nous confie-t-on, sa première option était de faire appel à des actionnaires internationaux.
Seulement, Macky Sall avait opposé un niet catégorique. C'est ce qui explique la participation de Harouna Dia, Abdoulaye Dia, Moustapha Ndiaye, entre autres. Ce sont les actionnaires derniers qui ont financé notamment les études. Il fallait ensuite trouver des fonds. C'est là que l'Etat du Sénégal entre en jeu. C'est lui qui a donné sa garantie. Une assurance pour les bailleurs d'être payés. Si Samuel Sarr devait aller en prison, le principal bailleur pourrait essayer de racheter les parts des parties en conflit, si une solution n'est pas trouvée, au bout de trois mois.
D'après les informations de votre canard, il fallait trouver près de 300 milliards FCfa. C'est finalement la banque AFC qui s'est engagée à apporter une partie des sous. L'AFC est une Institution financière multilatérale, créée par des États souverains africains.
L'arrestation de Samuel Sarr pourrait-¬elle avoir une incidence sur la suite du projet ? En tout cas, certaines sources proches du dossier nous assurent que si cette situation perdure, cela pourrait faire réagir le principal bailleur, qui pourrait essayer de racheter les parts des parties en conflit si une solution n'est pas trouvée, au bout de trois mois. Alors que, dès le début, Macky Sall avait insisté sur la part qu'il fallait réserver au Privé national.
À moins que l'Etat ne prenne les choses en main. En quoi faisant ? L'on nous assure que cela plaide pour l'ancien ministre, qui pourrait être libéré aujourd'hui, à la suite de son face-à-face avec le maître des poursuites. Une manière de ne pas retarder davantage le démarrage effectif de la centrale, qui est une nécessité pour l'Etat, dans l'optique de rendre les coûts de l'électricité plus soutenables.
Seulement, Macky Sall avait opposé un niet catégorique. C'est ce qui explique la participation de Harouna Dia, Abdoulaye Dia, Moustapha Ndiaye, entre autres. Ce sont les actionnaires derniers qui ont financé notamment les études. Il fallait ensuite trouver des fonds. C'est là que l'Etat du Sénégal entre en jeu. C'est lui qui a donné sa garantie. Une assurance pour les bailleurs d'être payés. Si Samuel Sarr devait aller en prison, le principal bailleur pourrait essayer de racheter les parts des parties en conflit, si une solution n'est pas trouvée, au bout de trois mois.
D'après les informations de votre canard, il fallait trouver près de 300 milliards FCfa. C'est finalement la banque AFC qui s'est engagée à apporter une partie des sous. L'AFC est une Institution financière multilatérale, créée par des États souverains africains.
L'arrestation de Samuel Sarr pourrait-¬elle avoir une incidence sur la suite du projet ? En tout cas, certaines sources proches du dossier nous assurent que si cette situation perdure, cela pourrait faire réagir le principal bailleur, qui pourrait essayer de racheter les parts des parties en conflit si une solution n'est pas trouvée, au bout de trois mois. Alors que, dès le début, Macky Sall avait insisté sur la part qu'il fallait réserver au Privé national.
À moins que l'Etat ne prenne les choses en main. En quoi faisant ? L'on nous assure que cela plaide pour l'ancien ministre, qui pourrait être libéré aujourd'hui, à la suite de son face-à-face avec le maître des poursuites. Une manière de ne pas retarder davantage le démarrage effectif de la centrale, qui est une nécessité pour l'Etat, dans l'optique de rendre les coûts de l'électricité plus soutenables.