Me El Hadji Amadou Sall, ancien ministre de la Justice sous Wade, interpellé sur les suites de l’affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr indique que la justice doit aller jusqu’au bout. « Une fois que la Justice est saisie, je ne vois pas le mécanisme par lequel, elle n’irait pas jusqu’au bout. Si la Justice pour une raison ou une autre décide de ne pas aller jusqu’au bout, si la fin de tout.
La Justice quand elle est saisie, elle va jusqu’au bout. Telle est la suite logique des choses sinon on n’a qu’à supprimer la Justice en ce moment-là », déclare Me El Hadji Amadou Sall, l’un des vice-présidents du parti des libéraux et démocrates dans le Grand Jury de RFM.
Le dernier développement dans cette affaire opposant le député Ousmane Sonko à la masseuse, Adji Sarr est l’annonce de l’Association des kinésithérapeutes et rééducateurs du Sénégal qui a renoncé à se constituer partie civile dans ce dossier judiciaire.
Il estime que dans la mesure où la justice n’est pas allée dans le sens de l’exercice illégal de la profession de kinésithérapie, il devient logique pour l’association des kinés et rééducateurs de s’en arrêter là, au moins jusqu’à ce que le Procureur interpelle ces personnes.
La Justice quand elle est saisie, elle va jusqu’au bout. Telle est la suite logique des choses sinon on n’a qu’à supprimer la Justice en ce moment-là », déclare Me El Hadji Amadou Sall, l’un des vice-présidents du parti des libéraux et démocrates dans le Grand Jury de RFM.
Le dernier développement dans cette affaire opposant le député Ousmane Sonko à la masseuse, Adji Sarr est l’annonce de l’Association des kinésithérapeutes et rééducateurs du Sénégal qui a renoncé à se constituer partie civile dans ce dossier judiciaire.
Il estime que dans la mesure où la justice n’est pas allée dans le sens de l’exercice illégal de la profession de kinésithérapie, il devient logique pour l’association des kinés et rééducateurs de s’en arrêter là, au moins jusqu’à ce que le Procureur interpelle ces personnes.