À la suite des violences notées à SaintLouis et ailleurs, Ousmane Sonko est monté au créneau pour accuser ouvertement Barthélémy Diaz. M. Sonko a déclaré avoir interpellé le président de la République et les ministres de l'Intérieur et de la justice sur la série de violences, avec notamment les nombreuses attaques contre des militants de Pastef. Après avoir annoncé le retour du fameux « gatsa-gatsa »( loi du Talion), il a ajouté que « Barth » et consorts ne vont plus battre campagne dans ce pays….
Après sa sortie, ses fidèles sont venus souffler sur les braises. Fadilou Keita : «L'Etat a failli permettant cette impunité inexplicable. Nous prendrons toutes nos responsabilités (...) Il y a quelque part un « laxisme » qui ne dit pas son nom. Mais qu’on se le dise personne ne peut fragiliser le Pastef. Qui qu’il soit!", a-t-il publié. Waly Diouf Bodiang rajoute : « Si la police n’arrête pas Barthélémy et Assane Diouf, nous les arrêterons. Ce sera de la légitime défense. Nous avons les moyens d'apporter une réponse clinique à cette violence. »
El Malick Ndiaye enchaîne : «PASTEF persécuté tant dans l’opposition que dans le pouvoir ? Que chaque patriote prenne ses responsabilités pour assurer sa propre défense! » Ngagne Demba Toure renchérit : « Œil pour œil, dent pour dent. Nous n’allons pas rester les bras croisés ! Barthélemy Diaz et sa bande de voyous vont découvrir de quel bois nousnous chauffons. Qu’ils se le tiennent pour dit : la campagne électorale, ce n’est pas la foire à la violence impunie. À tous les jeunes du parti, tenez-vous prêts ! Soit ils nous respectent, soit nous les écrasera tout bonnement. »
D’après le journal Point Actu, dans l’après-midi d’hier, Sonko a tenté de faire baisser la tension mais reste sur ses gardes. «On suivra de près le traitement des personnes arrêtées. Nous restons vigilants et nous veillerons à commenter la justice va traiter ses dossiers. Nous veillerons à ce que la justice fasse son travail. Si nous en sommes à ce stade, c’est grâce à vous !!
Si le Président Diomaye est là où, c’est grâce à vous ! Nous n’allons pas accepter que des bureaucrates gâchent notre travail. Nous n’allons pas instrumentaliser mais nous serons vigilants. Car nous ne pouvons pas accepter que des gens qui doivent faire 1 ou 6 mois fassent 15 jours de prison », dit-il. Fait-il référence à Ameth Ndoye condamné à 15 jours… Il poursuit : «Depuis plus de 6 mois, j’interpelle le Président ! Si tes adversaires disent que tu es un bon samaritain, ce qu’il y a un problème ! Un pays ne marche pas comme ça ! »
Après sa sortie, ses fidèles sont venus souffler sur les braises. Fadilou Keita : «L'Etat a failli permettant cette impunité inexplicable. Nous prendrons toutes nos responsabilités (...) Il y a quelque part un « laxisme » qui ne dit pas son nom. Mais qu’on se le dise personne ne peut fragiliser le Pastef. Qui qu’il soit!", a-t-il publié. Waly Diouf Bodiang rajoute : « Si la police n’arrête pas Barthélémy et Assane Diouf, nous les arrêterons. Ce sera de la légitime défense. Nous avons les moyens d'apporter une réponse clinique à cette violence. »
El Malick Ndiaye enchaîne : «PASTEF persécuté tant dans l’opposition que dans le pouvoir ? Que chaque patriote prenne ses responsabilités pour assurer sa propre défense! » Ngagne Demba Toure renchérit : « Œil pour œil, dent pour dent. Nous n’allons pas rester les bras croisés ! Barthélemy Diaz et sa bande de voyous vont découvrir de quel bois nousnous chauffons. Qu’ils se le tiennent pour dit : la campagne électorale, ce n’est pas la foire à la violence impunie. À tous les jeunes du parti, tenez-vous prêts ! Soit ils nous respectent, soit nous les écrasera tout bonnement. »
D’après le journal Point Actu, dans l’après-midi d’hier, Sonko a tenté de faire baisser la tension mais reste sur ses gardes. «On suivra de près le traitement des personnes arrêtées. Nous restons vigilants et nous veillerons à commenter la justice va traiter ses dossiers. Nous veillerons à ce que la justice fasse son travail. Si nous en sommes à ce stade, c’est grâce à vous !!
Si le Président Diomaye est là où, c’est grâce à vous ! Nous n’allons pas accepter que des bureaucrates gâchent notre travail. Nous n’allons pas instrumentaliser mais nous serons vigilants. Car nous ne pouvons pas accepter que des gens qui doivent faire 1 ou 6 mois fassent 15 jours de prison », dit-il. Fait-il référence à Ameth Ndoye condamné à 15 jours… Il poursuit : «Depuis plus de 6 mois, j’interpelle le Président ! Si tes adversaires disent que tu es un bon samaritain, ce qu’il y a un problème ! Un pays ne marche pas comme ça ! »