«Ce gros problème de mœurs dont est accusé le député Ousmane Sonko est pris comme prétexte pour vilipender, faire dans la médisance et même tenter de liquider politiquement, moralement, un citoyen sénégalais.
Et Dieu sait, combien de personnes, des autorités de surcroît, ont bien fait pire que lui. Et ce, au vu et au su de tout le monde, l’État y compris», a d’emblée, soutenu Adama Faye.
Le beau-frère du Président Macky Sall va plus loin, en clamant : «Celui qui n’a jamais fauté jette la première pierre. Sûr, que certains hauts d’en haut se garderont de le faire».
Dans une note rendue publique hier, M. Faye ajoute : «Les hommes politiques ont dans ce dossier, l’occasion rêvé pour rendre digne cette mission noble qui est de faire de la politique au sens véritable du terme. Et, c’est l’art de faire sa cité. La jeunesse a besoin de ces modèles pour croire enfin en la politique.
Pour ne pas croire que faire de la politique, c’est donner des coups bas, en recevoir et encore en donner, sans aucune forme de principes».
Mieux, dit-il : «La politique doit être le pouvoir de demander pardon pour des écarts de conduite comme c’est le cas du député Ousmane Sonko, mais aussi, pardonner comme cela doit être la position des députés, qui aujourd’hui, plus que jamais, doivent prendre fait et cause pour un des leurs, en lui montrant une solidarité de corps, comme on les y attend».
À en croire Adama Faye, «aujourd’hui, il incombe aux députés de soutenir un député et de protéger une jeune dame dont le nom est vilipendé, la vie rendue difficile à cause d’une malheureuse affaire de mœurs comme on en voit ailleurs et même, dans les sphères les moins attendues» (Sic).
À l’en croire, les députés «ont la possibilité d’intercéder au profit d’Ousmane Sonko et auprès d’Adji Raby Sarr, pour régler ce problème de moeurs qui ne fait que vicier l’atmosphère».
Se demandant «coupable ou viol ?», Adama Faye de soutenir que «le bénéfice du doute doit être mis en avant, valablement. Coupable d’avoir fait des erreurs ? Oui, sûrement, on peut le dire. Mais, ce n’est guère une raison pour jeter en pâture un citoyen qui a une famille, des enfants, des amis et des sympathisants».
Il termine en rappelant que « la Covid-19 continue de tuer nos proches, nos amis, nos parents. Le virus à Ébola est à nos portes et menace notre système de santé, déjà mal en point, sans oublier ces difficultés au quotidien des Sénégalais qui cherchent la dépense. Donc, profiter des faiblesses ou des erreurs d’un adversaire politique, n’influencera en rien une réélection d’un président de la République, n’empêchera pas son éjection du pouvoir. Tout ce que l’homme doit avoir, est déjà tracé par Dieu et nul n’échappe à son destin, quel que soit sa nature ».
Tribune
Et Dieu sait, combien de personnes, des autorités de surcroît, ont bien fait pire que lui. Et ce, au vu et au su de tout le monde, l’État y compris», a d’emblée, soutenu Adama Faye.
Le beau-frère du Président Macky Sall va plus loin, en clamant : «Celui qui n’a jamais fauté jette la première pierre. Sûr, que certains hauts d’en haut se garderont de le faire».
Dans une note rendue publique hier, M. Faye ajoute : «Les hommes politiques ont dans ce dossier, l’occasion rêvé pour rendre digne cette mission noble qui est de faire de la politique au sens véritable du terme. Et, c’est l’art de faire sa cité. La jeunesse a besoin de ces modèles pour croire enfin en la politique.
Pour ne pas croire que faire de la politique, c’est donner des coups bas, en recevoir et encore en donner, sans aucune forme de principes».
Mieux, dit-il : «La politique doit être le pouvoir de demander pardon pour des écarts de conduite comme c’est le cas du député Ousmane Sonko, mais aussi, pardonner comme cela doit être la position des députés, qui aujourd’hui, plus que jamais, doivent prendre fait et cause pour un des leurs, en lui montrant une solidarité de corps, comme on les y attend».
À en croire Adama Faye, «aujourd’hui, il incombe aux députés de soutenir un député et de protéger une jeune dame dont le nom est vilipendé, la vie rendue difficile à cause d’une malheureuse affaire de mœurs comme on en voit ailleurs et même, dans les sphères les moins attendues» (Sic).
À l’en croire, les députés «ont la possibilité d’intercéder au profit d’Ousmane Sonko et auprès d’Adji Raby Sarr, pour régler ce problème de moeurs qui ne fait que vicier l’atmosphère».
Se demandant «coupable ou viol ?», Adama Faye de soutenir que «le bénéfice du doute doit être mis en avant, valablement. Coupable d’avoir fait des erreurs ? Oui, sûrement, on peut le dire. Mais, ce n’est guère une raison pour jeter en pâture un citoyen qui a une famille, des enfants, des amis et des sympathisants».
Il termine en rappelant que « la Covid-19 continue de tuer nos proches, nos amis, nos parents. Le virus à Ébola est à nos portes et menace notre système de santé, déjà mal en point, sans oublier ces difficultés au quotidien des Sénégalais qui cherchent la dépense. Donc, profiter des faiblesses ou des erreurs d’un adversaire politique, n’influencera en rien une réélection d’un président de la République, n’empêchera pas son éjection du pouvoir. Tout ce que l’homme doit avoir, est déjà tracé par Dieu et nul n’échappe à son destin, quel que soit sa nature ».
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