La justice nigeriane va s’employer à obtenir, via le procès de l’officier iranien Azim Aghajani arrêté au port d’Apapa de Lagos, les détails d’une opération de contrebande d’armes destinées à des guérilleros en Afrique de l’Ouest, indique The Daily Telegraph dans un article paru le jeudi 13 janvier 2011.
Les armes, qui comprenaient des lance-roquettes, des mitrailleuses et des fusils d’assaut, avaient été dissimulés dans une cargaison de matériaux de construction. La saisie de la cargaison a été possible grâce aux informations données aux agents de sécurité nigerians par la CIA.
Les armes iraniennes étaient destinées à des milices islamistes au Nigeria et à d’autres groupes rebelles en Afrique de l’Ouest comme le Mouvement pour l’émancipation du delta du Niger (MEND) qui lutte pour le contrôle des recettes pétrolières du Nigeria, le Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC, au Sud du Sénégal) et une organisation rebelle en Gambie.
D’ailleurs, le président de la République de Gambie, voisine du Sénégal, décida de rompre les relations diplomatiques avec Téhéran. De son côté, le Sénégal fut contraint de rappeler son ambassadeur en Iran.
Ferloo.com
Les armes, qui comprenaient des lance-roquettes, des mitrailleuses et des fusils d’assaut, avaient été dissimulés dans une cargaison de matériaux de construction. La saisie de la cargaison a été possible grâce aux informations données aux agents de sécurité nigerians par la CIA.
Les armes iraniennes étaient destinées à des milices islamistes au Nigeria et à d’autres groupes rebelles en Afrique de l’Ouest comme le Mouvement pour l’émancipation du delta du Niger (MEND) qui lutte pour le contrôle des recettes pétrolières du Nigeria, le Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC, au Sud du Sénégal) et une organisation rebelle en Gambie.
D’ailleurs, le président de la République de Gambie, voisine du Sénégal, décida de rompre les relations diplomatiques avec Téhéran. De son côté, le Sénégal fut contraint de rappeler son ambassadeur en Iran.
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