Les documents obtenus par nos confrères datés du 4 mars 2020, renseignent que la Scp Bâ Tandian avait sollicité, pour le compte de son client Grimaldi, la mainlevée de la saisie des navires Grande Nigeria et Grande Africa, moyennant le versement de 6 milliards FCFA. "En réponse, le receveur poursuivant, chef de division du Port autonome de Dakar, a accepté provisoirement la demande ainsi que le montant proposé par les avocats du groupe".
Toutefois, l'accord pour la mainlevée de saisie desdits navires ne saurait faire obstacles aux poursuites intentées par la justice à l'encontre des auteurs et complices des infractions graves. Grimaldi, qui ne pouvait mettre en marche ses deux navires bloqués depuis plusieurs mois à Dakar, a néanmoins consenti à faire une croix sur les 90 véhicules Renault Kwid et les 3 véhicules Renault Oroch dans lesquelles la drogue avait été saisie.
Grimaldi, impliqué dans plusieurs affaires de drogue, s'en tire, encore une fois de plus, à bon compte. Courant août 2018, 1,2 tonne de cocaïne, cachée dans des sacs de riz, était saisie sur le Grande Nigeria. Même si des membres de l'équipage étaient soupçonnés de complicité, le navire avait été autorisé à reprendre la mer. L'histoire s'est encore répétée au Sénégal, termine "Libération".
Toutefois, l'accord pour la mainlevée de saisie desdits navires ne saurait faire obstacles aux poursuites intentées par la justice à l'encontre des auteurs et complices des infractions graves. Grimaldi, qui ne pouvait mettre en marche ses deux navires bloqués depuis plusieurs mois à Dakar, a néanmoins consenti à faire une croix sur les 90 véhicules Renault Kwid et les 3 véhicules Renault Oroch dans lesquelles la drogue avait été saisie.
Grimaldi, impliqué dans plusieurs affaires de drogue, s'en tire, encore une fois de plus, à bon compte. Courant août 2018, 1,2 tonne de cocaïne, cachée dans des sacs de riz, était saisie sur le Grande Nigeria. Même si des membres de l'équipage étaient soupçonnés de complicité, le navire avait été autorisé à reprendre la mer. L'histoire s'est encore répétée au Sénégal, termine "Libération".