Invité de la Rfm, Madiambal dit relevé avec beaucoup de satisfaction le comportement de la presse dans le traitement de l’information dans l’affaire de Cheikh Yérim Seck et celle Tamsir Jupiter Ndiaye. « Personne ne s’est concertée dans ces deux affaires. On s’est fait violence pour ne pas être dans la logique corporatiste. Personne n’a pris fait et cause ni pour Cheikh Yérim Seck, ni pour Tamsir Jupiter Diagne, encore moins pour les accabler. La presse s’est limitée aux fondamentaux du métier », s’est-t-il réjoui.
Cependant, il se dit très désolé de ces deux situations. D’autant plus que, regrette-t-il, « désormais, il est facile de voir en chaque journaliste une tronche de violeur ou une tronche d’homosexuel ». Une corporation où les défis sont nombreux à relever à cause de son environnement économique peu reluisant.
Abordant les évènements du 22 octobre dernier, Madiambal Diagne est courroucé par des défaillances au niveau de la scène de commandement. "Ce qui, selon lui, a été, reconnu par le chef de l’Etat lui-même". « Il faut situer les responsabilités et sanctionner », a-t-il exigé, avant de s’en prendre aux responsables des forces de l’ordre qui ont fait du zèle dans le maintien de l’ordre au point d’enregistrer des morts. Il laissera entendre aussi "que l’administration pénitentiaire n’a pas besoin de s’en référer aux procureur de la République, encore moins au président de la République ou quiconque d’autre pour faire son travail. Mais que pour avoir pris une mauvaise décision dans le transfèrement de Béthio Thioune, elle doit être sanctionnée.
Diagne indiquera enfin "qu’on n’a pas besoin d’inventer la roue dans le cas de Cheikh Béthio Thioune".
"Le remaniement ministériel est inévitable..."
Analysant la situation nationale du pays, Madiambal Diagne soutient que « les choses ne bougent pas ». Ce qui le pousse à déclarer que « le remaniement ministériel est inévitable. Il faut que le président de la République pose un acte fort, car peu de ministres de son gouvernement ne peut aligner un bilan positif. Or, le Sénégal n’a pas besoin d’un gouvernement de maintenance, mais d’une équipe audacieuse ».
Madiambal Diagne fait remarquer, dans la foulée, que la coalition qui a porté Macky Sall au pouvoir ne lui a pas été bénéfique.
M. Diagne a qualifié, par ailleurs, ce qui s’est passé lors du match Sénégal-Côte d’Ivoire et qui s’est soldé par des incidents, "d’épisode de regrettable".
Toutefois, le patron du Cdeps a pris le contre-pied de la Fédération sénégalaise de Football (FSF) qui a limogé Joseph Koto. « En limogeant Koto, la FSF doit tirer le bilan de son propre échec ; car c’est elle (FSF) qui a nommé Amara Traoré avec le résultat qu’on a enregistré à Bata en Guinée Equatoriale. C’est aussi elle qui a choisi d’abord Pierre Lechantre qui s’est désisté et puis Joseph Koto... La mesure qui s’impose maintenant, c’est faire dégager cette Fédération. Cinq membres ont compris cela en démissionnant…, il faut que les autres suivent ».
Ferloo
Cependant, il se dit très désolé de ces deux situations. D’autant plus que, regrette-t-il, « désormais, il est facile de voir en chaque journaliste une tronche de violeur ou une tronche d’homosexuel ». Une corporation où les défis sont nombreux à relever à cause de son environnement économique peu reluisant.
Abordant les évènements du 22 octobre dernier, Madiambal Diagne est courroucé par des défaillances au niveau de la scène de commandement. "Ce qui, selon lui, a été, reconnu par le chef de l’Etat lui-même". « Il faut situer les responsabilités et sanctionner », a-t-il exigé, avant de s’en prendre aux responsables des forces de l’ordre qui ont fait du zèle dans le maintien de l’ordre au point d’enregistrer des morts. Il laissera entendre aussi "que l’administration pénitentiaire n’a pas besoin de s’en référer aux procureur de la République, encore moins au président de la République ou quiconque d’autre pour faire son travail. Mais que pour avoir pris une mauvaise décision dans le transfèrement de Béthio Thioune, elle doit être sanctionnée.
Diagne indiquera enfin "qu’on n’a pas besoin d’inventer la roue dans le cas de Cheikh Béthio Thioune".
"Le remaniement ministériel est inévitable..."
Analysant la situation nationale du pays, Madiambal Diagne soutient que « les choses ne bougent pas ». Ce qui le pousse à déclarer que « le remaniement ministériel est inévitable. Il faut que le président de la République pose un acte fort, car peu de ministres de son gouvernement ne peut aligner un bilan positif. Or, le Sénégal n’a pas besoin d’un gouvernement de maintenance, mais d’une équipe audacieuse ».
Madiambal Diagne fait remarquer, dans la foulée, que la coalition qui a porté Macky Sall au pouvoir ne lui a pas été bénéfique.
M. Diagne a qualifié, par ailleurs, ce qui s’est passé lors du match Sénégal-Côte d’Ivoire et qui s’est soldé par des incidents, "d’épisode de regrettable".
Toutefois, le patron du Cdeps a pris le contre-pied de la Fédération sénégalaise de Football (FSF) qui a limogé Joseph Koto. « En limogeant Koto, la FSF doit tirer le bilan de son propre échec ; car c’est elle (FSF) qui a nommé Amara Traoré avec le résultat qu’on a enregistré à Bata en Guinée Equatoriale. C’est aussi elle qui a choisi d’abord Pierre Lechantre qui s’est désisté et puis Joseph Koto... La mesure qui s’impose maintenant, c’est faire dégager cette Fédération. Cinq membres ont compris cela en démissionnant…, il faut que les autres suivent ».
Ferloo