Philippe Bohn n'est plus à la tête de Air Sénégal. Il a été limogé par le Conseil d'administration à l'issue d'une réunion et succédé par Ibrahima Kane qui dirigeait le Fonsis .
La raison fondamentale de son limogeage, écrit Libération, est que le désormais ex-directeur avait des relations troubles avec la compagnie portugaise Hi Fly. Le journal indique que Bohn avait loué un appareil auprès de Hi Fly lorque Air Sénégal devait commencer ses vols et que son appareil tout neuf n'était opérationnel. Aussi, poursuit Libération, le français n'avait pas tenu au sérieux la panne récente de l'appareil et a encore loué deux avions, un A340 et un A330 auprès de la même compagnie portugaise sans informer le conseil d'administration ou l'actionnaire principal à savoir la Caisse des dépôts et consignation (Cdc). Une attitude qui a poussé Alioune Sall Dg de la Cdc, d'exiger de Bohn une copie détaillée du contrat signé avec Hi Fly.
La goutte de trop, lit-on, est Philippe Bohn a barré au feutre les engagements financiers qu'il a jugés "confidentiels" avant d'envoyer la correspondance au Dg de la Cdc. Pour tenter de sauver les meubles, Bohn a été nommé administrateur.
Du côté des employés, informe dakarmatin, c'est la fête après l'annonce du licenciement de Bohn dont la gestion a été tout le temps décriée. " Tout était concentré entre les mains de Bohn et de ses deux lieutenants (le directeur réseau et expérience client et celui de la stratégie et de l’investissement). Il n y a pas de service juridique, pas d’organigramme, pas de comité directeur, encore moins de contrôle de gestion. Le Daf était mis de coté. Le Dg était le seul à avoir une vue sur les contrats des employés. » a dénonce une source.
La raison fondamentale de son limogeage, écrit Libération, est que le désormais ex-directeur avait des relations troubles avec la compagnie portugaise Hi Fly. Le journal indique que Bohn avait loué un appareil auprès de Hi Fly lorque Air Sénégal devait commencer ses vols et que son appareil tout neuf n'était opérationnel. Aussi, poursuit Libération, le français n'avait pas tenu au sérieux la panne récente de l'appareil et a encore loué deux avions, un A340 et un A330 auprès de la même compagnie portugaise sans informer le conseil d'administration ou l'actionnaire principal à savoir la Caisse des dépôts et consignation (Cdc). Une attitude qui a poussé Alioune Sall Dg de la Cdc, d'exiger de Bohn une copie détaillée du contrat signé avec Hi Fly.
La goutte de trop, lit-on, est Philippe Bohn a barré au feutre les engagements financiers qu'il a jugés "confidentiels" avant d'envoyer la correspondance au Dg de la Cdc. Pour tenter de sauver les meubles, Bohn a été nommé administrateur.
Du côté des employés, informe dakarmatin, c'est la fête après l'annonce du licenciement de Bohn dont la gestion a été tout le temps décriée. " Tout était concentré entre les mains de Bohn et de ses deux lieutenants (le directeur réseau et expérience client et celui de la stratégie et de l’investissement). Il n y a pas de service juridique, pas d’organigramme, pas de comité directeur, encore moins de contrôle de gestion. Le Daf était mis de coté. Le Dg était le seul à avoir une vue sur les contrats des employés. » a dénonce une source.