Et c’est c’est Boubacar Gadiadia qui en prend pour son grade qui, qui a adopté une attitude que Giresse ne connaissait pas de lui. «J'ai été étonné d'apprendre que mon adjoint a produit un rapport qu'il a présenté à la Fédération. Ce n'est pas de son ressort. C'est de la prétention. Il y a des paramètres et des informations qu'il ne maîtrise pas. Cela dénote de sa volonté de mal faire le travail, tout au long de notre collaboration. J'ai même été très gentil de le garder à mes côtés, malgré son attitude», a fustigé dans le journal "Le Populaire" du jourGiresse, relevant : il a choisi la presse pour dire des choses que je ne connaissais pas de lui.
Et pourtant, Alain Giresse note que Gadiaga n’en était pas à sa première dans son mauvais comportement dans le travail. «A plusieurs reprises, je me suis plaint auprès de son président de club, Saër Seck, pour lui faire des remarques sur sa mauvaise façon de collaborer. Je pouvais bien demander de m'en séparer, mais j'ai beaucoup cru en cette équipe d'aller très loin dans la Can 2015. Et je ne voulais pas que la cassure vienne d'un mauvais climat au sein du staff technique », a-t-il confié.
Toutefois, Giresse peut trouver une consolatgion dans le comportement du président de la FSF, Augustin Senghor qu’il trouve exemplaire dans son dévouement pour le Sénégal. «C'est un garçon qui est dévoué pour la cause de son pays. C'est un professionnel rompu à la tâche qui ne fait pas les choses à moitié. Lui au moins, il connaissait son rôle et s'assumait quel que soit le résultat », a marqué le sélectionneur français, ancien coach du Mali et du Gabon.
Ferloo
Et pourtant, Alain Giresse note que Gadiaga n’en était pas à sa première dans son mauvais comportement dans le travail. «A plusieurs reprises, je me suis plaint auprès de son président de club, Saër Seck, pour lui faire des remarques sur sa mauvaise façon de collaborer. Je pouvais bien demander de m'en séparer, mais j'ai beaucoup cru en cette équipe d'aller très loin dans la Can 2015. Et je ne voulais pas que la cassure vienne d'un mauvais climat au sein du staff technique », a-t-il confié.
Toutefois, Giresse peut trouver une consolatgion dans le comportement du président de la FSF, Augustin Senghor qu’il trouve exemplaire dans son dévouement pour le Sénégal. «C'est un garçon qui est dévoué pour la cause de son pays. C'est un professionnel rompu à la tâche qui ne fait pas les choses à moitié. Lui au moins, il connaissait son rôle et s'assumait quel que soit le résultat », a marqué le sélectionneur français, ancien coach du Mali et du Gabon.
Ferloo