Selon le site figaro.fr visité par Leral.net, c’est ce vendredi 15 mai, que le chef du service pédiatrique de La Timone, à Marseille, a annoncé le décès d'un enfant d'une «atteinte neurologique liée à un arrêt cardiaque», une forme proche de la maladie de Kawasaki.
S'il n'a pas développé les syndromes du Covid-19, ce dernier avait toutefois «une sérologie montrant qu'il avait été en contact» avec le coronavirus. Il s'agit du premier décès de ce type en France.
Mardi dernier, la direction générale de la santé (DGS) signalait 125 cas d'enfants présentant un état inflammatoire multisystémique nécessitant des soins intensifs. Contactée par Le Figaro, la DGS signale ce vendredi 135 cas, soit 10 de plus en trois jours.
Selon les données d'Isabelle Koné-Paut, pédiatre et responsable du réseau national de surveillance de la maladie de Kawasaki, 50% de ces enfants se seraient retrouvés en réanimation avec une inflammation sévère.
«Cette pathologie rare survient chez de très jeunes enfants, après une infection virale (rhume, grippe) en lien avec une hyperréactivité inflammatoire», explique la DGS au sujet de la maladie de Kawasaki.
Fatigue intense, plusieurs jours de fièvre supérieure à 38°C, des ganglions, une forte inflammation et une éruption de boutons sont les caractéristiques typiques d'un Kawasaki.
En l'absence de traitement, la maladie peut se compliquer d'anévrismes coronaires (infarctus du myocarde) pouvant être mortels. Les nourrissons et jeunes enfants en sont les principales victimes.
Avec le figaro
S'il n'a pas développé les syndromes du Covid-19, ce dernier avait toutefois «une sérologie montrant qu'il avait été en contact» avec le coronavirus. Il s'agit du premier décès de ce type en France.
Mardi dernier, la direction générale de la santé (DGS) signalait 125 cas d'enfants présentant un état inflammatoire multisystémique nécessitant des soins intensifs. Contactée par Le Figaro, la DGS signale ce vendredi 135 cas, soit 10 de plus en trois jours.
Selon les données d'Isabelle Koné-Paut, pédiatre et responsable du réseau national de surveillance de la maladie de Kawasaki, 50% de ces enfants se seraient retrouvés en réanimation avec une inflammation sévère.
«Cette pathologie rare survient chez de très jeunes enfants, après une infection virale (rhume, grippe) en lien avec une hyperréactivité inflammatoire», explique la DGS au sujet de la maladie de Kawasaki.
Fatigue intense, plusieurs jours de fièvre supérieure à 38°C, des ganglions, une forte inflammation et une éruption de boutons sont les caractéristiques typiques d'un Kawasaki.
En l'absence de traitement, la maladie peut se compliquer d'anévrismes coronaires (infarctus du myocarde) pouvant être mortels. Les nourrissons et jeunes enfants en sont les principales victimes.
Avec le figaro