« C’est une grande joie, d’autant plus que j’ai été choisi parmi 19 candidats. Mais cette joie est mesurée, car nous avons pleinement conscience de la lourde responsabilité que cela implique. L’UCAD est une institution de référence, qui a joué un rôle clé dans la construction de notre État, ainsi que dans la formation de ressources humaines de qualité. Il est de notre devoir de préserver et d’enrichir ce précieux héritage », a déclaré Alioune Badara Kandji.
Le recteur a souligné que l’UCAD se trouve à un tournant de son histoire et qu’il est crucial de faire les bons choix pour l’avenir de l’institution.
« Le bon chemin, c’est celui qui nous conduit à la souveraineté et au développement. Nous devons opérer des ruptures dans la gouvernance, la pédagogie, la recherche, et renforcer notre coopération internationale, afin que l’UCAD retrouve sa place dans le paysage scientifique mondial », a-t-il précisé.
Alioune Badara Kandji a également abordé l’importance de la pacification de l’espace universitaire. Selon lui, cela est primordial pour garantir la qualité de l’enseignement et des recherches.
« C’est un grand chantier, qui nécessitera une approche inclusive et participative de toute la communauté universitaire. Il est essentiel de mettre en place des mécanismes de prévention et de résolution des conflits. Sans pacification, il est impossible d’offrir un programme de formation et de recherche de qualité. La pacification sera le maître mot dans tous les cas », a-t-il affirmé.
L’un des défis majeurs que le nouveau recteur souhaite relever, est celui de la lutte contre la fraude académique. « Nous devons éradiquer la fraude, pour crédibiliser nos formations et les diplômes que nous délivrons. Nous allons instaurer un manuel de procédures et une charte des examens, pour sécuriser le système d’évaluation », a-t-il annoncé.
S rts.sn
Le recteur a souligné que l’UCAD se trouve à un tournant de son histoire et qu’il est crucial de faire les bons choix pour l’avenir de l’institution.
« Le bon chemin, c’est celui qui nous conduit à la souveraineté et au développement. Nous devons opérer des ruptures dans la gouvernance, la pédagogie, la recherche, et renforcer notre coopération internationale, afin que l’UCAD retrouve sa place dans le paysage scientifique mondial », a-t-il précisé.
Alioune Badara Kandji a également abordé l’importance de la pacification de l’espace universitaire. Selon lui, cela est primordial pour garantir la qualité de l’enseignement et des recherches.
« C’est un grand chantier, qui nécessitera une approche inclusive et participative de toute la communauté universitaire. Il est essentiel de mettre en place des mécanismes de prévention et de résolution des conflits. Sans pacification, il est impossible d’offrir un programme de formation et de recherche de qualité. La pacification sera le maître mot dans tous les cas », a-t-il affirmé.
L’un des défis majeurs que le nouveau recteur souhaite relever, est celui de la lutte contre la fraude académique. « Nous devons éradiquer la fraude, pour crédibiliser nos formations et les diplômes que nous délivrons. Nous allons instaurer un manuel de procédures et une charte des examens, pour sécuriser le système d’évaluation », a-t-il annoncé.
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