«Les femmes ont récolté de la pomme de terre à Timbi Madina et à Mali. Elles vendent leurs produits au Sénégal. Aujourd’hui, ces produits pourrissent en Guinée du fait de la fermeture de la frontière», déplore-t-il. Mais, s’empresse-t-il d’ajouter, «nous allons transformer sur place notre pomme de terre en chips et en purée. On ne va plus rien exporter. Que ça soit les pommes de terre, les fruits, les légumes».
«Ils (les Sénégalais) nous ferment leurs frontières alors que c’est nous qui les nourrissons. Laissons-les. Ne les insultons pas et ne leur en voulons pas. Nous sommes des panafricains. La Guinée a aidé l’Afrique du Sud. Mandela a fait sa formation à Kindia. Nous avons aidé l’Angola, la Guinée Bissau. Et nous continuerons à aider toute l’Afrique», dit-il aux Guinéens venus l’accueillir.
Désormais, poursuit-t-il «nous allons consommer ce que nous produisons. Nous consommerons notre huile de palme sans l’exporter ailleurs», dit Alpha Condé qui réitère sa reconnaissance envers les pays solidaires d’avec la Guinée durant cette période d’épidémie d’Ebola.
«Ils (les Sénégalais) nous ferment leurs frontières alors que c’est nous qui les nourrissons. Laissons-les. Ne les insultons pas et ne leur en voulons pas. Nous sommes des panafricains. La Guinée a aidé l’Afrique du Sud. Mandela a fait sa formation à Kindia. Nous avons aidé l’Angola, la Guinée Bissau. Et nous continuerons à aider toute l’Afrique», dit-il aux Guinéens venus l’accueillir.
Désormais, poursuit-t-il «nous allons consommer ce que nous produisons. Nous consommerons notre huile de palme sans l’exporter ailleurs», dit Alpha Condé qui réitère sa reconnaissance envers les pays solidaires d’avec la Guinée durant cette période d’épidémie d’Ebola.