"L’énergie solaire, qui est reconnue propre, non polluante à tous points de vue, mérite que des réflexions soient menées par le secteur de la formation professionnelle et technique pour un accompagnement lui permettant d’occuper une place privilégiée dans nos pays africains", a-t-il déclaré.
Aly Coto Ndiaye présidait, au Centre de formation professionnelle et technique Sénégal/Japon (CFPT), la cérémonie de clôture de deux séminaires de formation des formateurs, ayant respectivement pour thème "Réalisation d’appareils électroniques pour une installation solaire" et "Réalisation de matériels didactiques".
Selon le ministre de la Formation professionnelle et de l’Emploi, "les travaux présentés par les participants, laissent entrevoir l’apport de telles formations quant à la résolution de la problématique de l’énergie, commune aux pays africains".
Il a indiqué que les 15 pays qui ont pris part à ces séminaires ressentent les conséquences de ce problème "sur les factures pétroliers".
Ousseynou Guèye, le directeur du CFPT a pour sa part soutenu que les thèmes liés aux installations solaires sont d’actualité et revêtent "un intérêt certain, au vu de la place que l’énergie solaire doit occuper dans les Etats africains en développement et non producteurs de pétrole, mais bien ensoleillés toute l’année."
Il a indiqué que le programme de cette année a permis la confection de cartes électroniques, de régulateurs, de transformateurs pour la réalisation d’un onduleur destiné à convertir du courant continu issu des panneaux solaires, via les batteries, en courant alternatif 220V-50hz.
Source:FD/BK
Aly Coto Ndiaye présidait, au Centre de formation professionnelle et technique Sénégal/Japon (CFPT), la cérémonie de clôture de deux séminaires de formation des formateurs, ayant respectivement pour thème "Réalisation d’appareils électroniques pour une installation solaire" et "Réalisation de matériels didactiques".
Selon le ministre de la Formation professionnelle et de l’Emploi, "les travaux présentés par les participants, laissent entrevoir l’apport de telles formations quant à la résolution de la problématique de l’énergie, commune aux pays africains".
Il a indiqué que les 15 pays qui ont pris part à ces séminaires ressentent les conséquences de ce problème "sur les factures pétroliers".
Ousseynou Guèye, le directeur du CFPT a pour sa part soutenu que les thèmes liés aux installations solaires sont d’actualité et revêtent "un intérêt certain, au vu de la place que l’énergie solaire doit occuper dans les Etats africains en développement et non producteurs de pétrole, mais bien ensoleillés toute l’année."
Il a indiqué que le programme de cette année a permis la confection de cartes électroniques, de régulateurs, de transformateurs pour la réalisation d’un onduleur destiné à convertir du courant continu issu des panneaux solaires, via les batteries, en courant alternatif 220V-50hz.
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