Le président de la délégation spéciale de Sangalkam se dit profondément attristé par la mort du jeune Malik Bâ, 30 ans, lors des manifestations qui ont eu lieu ce matin à sangalkam. « Je suis profondément meurtri et très attristé par la nouvelle et au nom du Président de la République et du ministre de la décentralisation et des collectivités locale, je présente mes sincères condoléances à la famille éplorée. Je compte me rendrai incessamment chez la victime pour présenter à sa veuve et à ses enfants mes condoléances », dira-t-il avant d’interpeller son prédécesseur : « Je demande à mon grand frère Oumar Guèye d'appeler au calme pour apaiser la tension sociale, j'en appelle aussi au chef de village, Souka Diouf, à qui je rendrais visite dans la semaine ou dès que la situation le permet de participer à l’apaisement de la tension sociale ».
Aly Khoudia Diaw dont l’installation à la tête de la délégation spéciale de Sangalkam dans la violence de rassurer les populations de ladite localité. «J’ai déjà dit que mon option est d'aller vers le partenariat, le consensus et le dialogue car Sangalkam n'a rien perdu, aussi bien pour ses terres qui seront conservées, les entrepreneurs qui continueront à travailler sereinement, l'immeuble des étudiants qui sera conservé et les travailleurs qui recevront leurs salaires dans la semaine si le climat social le permet. Je compte continuer les chantiers entamés et aucune noblesse, clergés et autres notabilités, la classe maraboutique et l'ensemble des partenaires continueront à garder leurs acquis. C’est pourquoi je dis que Sangalkam n'a rien perdu», rassure-t-il.
Revenant sur les circonstances des éventements tragiques, Aly Khoudia explique: « ce matin de bonne heure, j'ai donné des instruction à mon vice-président et à Malick Sow de se rendre sur les lieux pour constater de visu la présence des agents de la commune. Le vice-président devait se rendre par la suite à sa commission sur les listes électorales dont il est président de commission tandis que Malick devait finir la procédure de passation en présence d'un huissier à propos du matériel. Moi je me rendais au trésor de Rufisque pour finaliser les modalités de paiement des salaires du mois d'avril et de mai des travailleurs. C’est là que le sous-préfet m'a averti du drame. »
Et de rappeler que « nous ne sommes pas ennemi de Sangalkam. C’est dramatique car on est partit raconter à toute la population qu’elle va tout perdre, que les travailleurs seront licenciés, que les jeunes seront dépouillés, que les femmes seront abandonnées, bref beaucoup d'intoxication, alors qu'en réalité tout cela est faux. Oumar Guèye aurait pu être rassuré par ma seule présence car il sait que sur les questions de principe, je ne transige pas. »
Aly Khoudia Diaw dont l’installation à la tête de la délégation spéciale de Sangalkam dans la violence de rassurer les populations de ladite localité. «J’ai déjà dit que mon option est d'aller vers le partenariat, le consensus et le dialogue car Sangalkam n'a rien perdu, aussi bien pour ses terres qui seront conservées, les entrepreneurs qui continueront à travailler sereinement, l'immeuble des étudiants qui sera conservé et les travailleurs qui recevront leurs salaires dans la semaine si le climat social le permet. Je compte continuer les chantiers entamés et aucune noblesse, clergés et autres notabilités, la classe maraboutique et l'ensemble des partenaires continueront à garder leurs acquis. C’est pourquoi je dis que Sangalkam n'a rien perdu», rassure-t-il.
Revenant sur les circonstances des éventements tragiques, Aly Khoudia explique: « ce matin de bonne heure, j'ai donné des instruction à mon vice-président et à Malick Sow de se rendre sur les lieux pour constater de visu la présence des agents de la commune. Le vice-président devait se rendre par la suite à sa commission sur les listes électorales dont il est président de commission tandis que Malick devait finir la procédure de passation en présence d'un huissier à propos du matériel. Moi je me rendais au trésor de Rufisque pour finaliser les modalités de paiement des salaires du mois d'avril et de mai des travailleurs. C’est là que le sous-préfet m'a averti du drame. »
Et de rappeler que « nous ne sommes pas ennemi de Sangalkam. C’est dramatique car on est partit raconter à toute la population qu’elle va tout perdre, que les travailleurs seront licenciés, que les jeunes seront dépouillés, que les femmes seront abandonnées, bref beaucoup d'intoxication, alors qu'en réalité tout cela est faux. Oumar Guèye aurait pu être rassuré par ma seule présence car il sait que sur les questions de principe, je ne transige pas. »