M. Ndour s’est étonné de la tournure des événements de l’attaque de la mairie de Sicap-Mermoz-Sacré Cœur. « Ce que je ne comprends pas dans cette affaire, c’est pourquoi après la fusillade qui opposait Barthélemy Dias aux nervis, les mêmes gens ont amené leur bléssé dans un lieu qui n’est pas du tout un lieu médical, ni sanitaire. À mon avis, il y a eu non-assistance à personne en danger», a fait savoir M. Ndour, qui est également ancien Chef de poste dans un hôpital en France.
Et, en France, « quand un particulier amène un malade traumatisé à l’hôpital, la réglementation veut qu’on appelle la police. J’ai eu à le faire à chaque fois. Parce qu’au moment du transport, s’il y a eu aggravation de la blessure, ce n’est pas le chirurgien qui est responsable, mais ce sont ceux-là qui ont amené le malade qui sont responsables », a précisé l’Anesthésiste. Donc, selon M. Ndour « il n’est pas prouvé que s’ils l’avaient amené dans une structure sanitaire, Ndiaga Diouf allait mourir ».
Et, en France, « quand un particulier amène un malade traumatisé à l’hôpital, la réglementation veut qu’on appelle la police. J’ai eu à le faire à chaque fois. Parce qu’au moment du transport, s’il y a eu aggravation de la blessure, ce n’est pas le chirurgien qui est responsable, mais ce sont ceux-là qui ont amené le malade qui sont responsables », a précisé l’Anesthésiste. Donc, selon M. Ndour « il n’est pas prouvé que s’ils l’avaient amené dans une structure sanitaire, Ndiaga Diouf allait mourir ».