Selon leurs sources, tous les gendarmes qui étaient en faction au Mali, au Niger et au Burkina Faso, ont été relevés. Ils sont sommés de rentrer au pays et de rejoindre l’Administration centrale, au plus tard le 30 novembre prochain.
À cet effet, soulignent leurs sources, une note a été envoyée, le 2 septembre dernier, aux concernés et aux ambassadeurs desdits pays, pour préparer cette nouvelle donne diplomatique.
Dans ce document, précisent-elles, il leur est expliqué qu'une décision a été prise dans ce sens et qu’ils doivent regagner Dakar d’ici à la date indiquée, c’est-à-dire le 30 novembre 2024.
Pour les besoins du rapatriement, ils ont été invités à communiquer les compositions de leurs familles avec l'âge des enfants. Ce serait une première, selon certaines indiscrétions, qu'une telle décision arrive au niveau des représentations diplomatiques sénégalaises.
Les interlocuteurs du quotidien n'ont pas voulu épiloguer sur les motivations d'une telle décision, mais certains la mettent déjà sous le compte de “l’amateurisme et du tâtonnement”.
Il faut rappeler qu’au mois de mai déjà, un mois seulement après leur arrivée au pouvoir, le nouveau régime avait pris une série de mesures, dont le rappel de plus de 70 diplomates au Sénégal. D’autres mesures ont été prises toujours dans le sens de mettre fin aux fonctions de certains fonctionnaires, ambassadeurs et consuls.
À cet effet, soulignent leurs sources, une note a été envoyée, le 2 septembre dernier, aux concernés et aux ambassadeurs desdits pays, pour préparer cette nouvelle donne diplomatique.
Dans ce document, précisent-elles, il leur est expliqué qu'une décision a été prise dans ce sens et qu’ils doivent regagner Dakar d’ici à la date indiquée, c’est-à-dire le 30 novembre 2024.
Pour les besoins du rapatriement, ils ont été invités à communiquer les compositions de leurs familles avec l'âge des enfants. Ce serait une première, selon certaines indiscrétions, qu'une telle décision arrive au niveau des représentations diplomatiques sénégalaises.
Les interlocuteurs du quotidien n'ont pas voulu épiloguer sur les motivations d'une telle décision, mais certains la mettent déjà sous le compte de “l’amateurisme et du tâtonnement”.
Il faut rappeler qu’au mois de mai déjà, un mois seulement après leur arrivée au pouvoir, le nouveau régime avait pris une série de mesures, dont le rappel de plus de 70 diplomates au Sénégal. D’autres mesures ont été prises toujours dans le sens de mettre fin aux fonctions de certains fonctionnaires, ambassadeurs et consuls.