La CCSS considère cette décision comme un acte salvateur et louable, célébré par l’ensemble des travailleurs et des organisations syndicales. En effet, elle promeut les emplois décents, préserve les droits des travailleurs et sauvegarde les libertés syndicales consacrées par la Constitution du Sénégal.
Cette décision s'aligne également sur les Conventions fondamentales de l’OIT, notamment les conventions 87 et 98 sur les libertés syndicales, ratifiées par l’État du Sénégal, respectivement le 4 novembre 1960 et le 28 juillet 1961.
Selon leur communiqué, cet acte d’une haute portée sociale illustre parfaitement la matérialisation des idéaux du mouvement "Jub, Jubbal Jubbanti", initié sous la présidence de Bassirou Diomaye Diakhar Faye et de son Premier Ministre, Ousmane Sonko.
« C’est un signal fort pour tous les acteurs du monde du travail et souligne la nécessité de mettre en place un cadre de dialogue social approprié au sein de la CBAO, dans un souci d’apaisement et de renforcement du climat social », souligne le document
Et la CCSS appelle la Direction générale de la CBAO et toutes les parties prenantes, à œuvrer ensemble pour un retour à la paix sociale, la consolidation des acquis, le développement de l’outil de travail et l’épanouissement des travailleurs.
Cette décision s'aligne également sur les Conventions fondamentales de l’OIT, notamment les conventions 87 et 98 sur les libertés syndicales, ratifiées par l’État du Sénégal, respectivement le 4 novembre 1960 et le 28 juillet 1961.
Selon leur communiqué, cet acte d’une haute portée sociale illustre parfaitement la matérialisation des idéaux du mouvement "Jub, Jubbal Jubbanti", initié sous la présidence de Bassirou Diomaye Diakhar Faye et de son Premier Ministre, Ousmane Sonko.
« C’est un signal fort pour tous les acteurs du monde du travail et souligne la nécessité de mettre en place un cadre de dialogue social approprié au sein de la CBAO, dans un souci d’apaisement et de renforcement du climat social », souligne le document
Et la CCSS appelle la Direction générale de la CBAO et toutes les parties prenantes, à œuvrer ensemble pour un retour à la paix sociale, la consolidation des acquis, le développement de l’outil de travail et l’épanouissement des travailleurs.