« C’est la confiance qui permet de mobiliser le peuple pour célébrer le Magal en pleine covid-19. La gouvernance démocratique est la confiance populaire incarnée dans des institutions dont le fonctionnement obéît à des règles précises, parmi lesquelles le renouvellement à date et la limitation des mandats des élus. Le mandat des élus locaux est terminé au Sénégal », a soutenu Mamadou Lamine Diallo dans sa Questekki de ce mardi 13 octobre 2020.
Le pilier central de ce système de confiance est la justice. Celle-ci bat de l’aile. Après un bras de fer avec les greffiers, c’est le tour de l’UMS, à la suite des accusations de corruption entre magistrats. « Il est vrai que son indépendance est virtuelle, nous l’avons testée dans l’affaire de Franck Timis et son facteur Aliou Sall. Il faut que la justice se ressaisisse. Que BBY laisse les juges faire leur travail en toute éthique comme le rappelait un des leurs, le juge Kéba Mbaye. Laissez les juges Téliko et Ngor Diop tranquilles ! », interpelle-t-il.
Dans le pays, l’Assemblée nationale, depuis le 23 juin 2011, suit une trajectoire de baisse tendancielle de sa crédibilité. Rien n’y fait, en plus de la conception présidentialiste du pouvoir des chefs de BBY, le comportement de certains députés est inadmissible en République.
Ce qui vient de se passer au Mali, démontre la supériorité éthique de la gouvernance démocratique sur la dictature. Celle-ci, commence aussi avec les coups d’état électoraux, de troisième mandat et les déclarations à caractère ethniciste comme c’est le cas en Côte d’Ivoire, en Guinée de Alpha Condé et dans le Ranérou de Macky Sall.
La République, insiste-t-il, doit sanctionner ce député de Ranérou et président du Conseil départemental.
Le pilier central de ce système de confiance est la justice. Celle-ci bat de l’aile. Après un bras de fer avec les greffiers, c’est le tour de l’UMS, à la suite des accusations de corruption entre magistrats. « Il est vrai que son indépendance est virtuelle, nous l’avons testée dans l’affaire de Franck Timis et son facteur Aliou Sall. Il faut que la justice se ressaisisse. Que BBY laisse les juges faire leur travail en toute éthique comme le rappelait un des leurs, le juge Kéba Mbaye. Laissez les juges Téliko et Ngor Diop tranquilles ! », interpelle-t-il.
Dans le pays, l’Assemblée nationale, depuis le 23 juin 2011, suit une trajectoire de baisse tendancielle de sa crédibilité. Rien n’y fait, en plus de la conception présidentialiste du pouvoir des chefs de BBY, le comportement de certains députés est inadmissible en République.
Ce qui vient de se passer au Mali, démontre la supériorité éthique de la gouvernance démocratique sur la dictature. Celle-ci, commence aussi avec les coups d’état électoraux, de troisième mandat et les déclarations à caractère ethniciste comme c’est le cas en Côte d’Ivoire, en Guinée de Alpha Condé et dans le Ranérou de Macky Sall.
La République, insiste-t-il, doit sanctionner ce député de Ranérou et président du Conseil départemental.