L’opposition n’a pas, non plus, contesté ni la mesure instaurant l’état d’urgence, ni le couvre-feu, ni la loi d’habilitation, donnant pleins pouvoirs au Président de la République, ni aucune autre mesure prise. En dépit d’une gestion parfois bien contestable, le FRN a presque cessé toute hostilité et, a même, désigné un représentant à la Commission de suivi des opérations de la Force Covid 19, instaurée à la place d’un Comité de pilotage, pourtant annoncé par le Président.
Par ces actes, le Front a démontré sa décision d’accompagner le gouvernement, sans considération partisane, plaçant l’intérêt du Sénégal au-dessus de tout autre.
D’après le communiqué, dans cette guerre contre la pandémie du Covid-19, le Frn a incontestablement joué son rôle et participé aux combats sans jamais remettre en cause fondamentalement, les choix du président de la République ou du gouvernement.
Cependant, l’image de tout un pays uni derrière son chef en temps de guerre, considère-t-on, a été écornée par la persistance de choix et de décisions souvent unilatérales, à l’opposé de la volonté manifestée au début, d’impliquer tous les acteurs, y compris l’opposition, dans la prise des décisions ou alors, des décisions précipitées qui contribuent à exacerber et à renforcer les critiques ou réserves de toutes natures.
Il en est ainsi de la prolongation de l’état d’urgence, d’après la source, des aménagements du couvre-feu et de l’interdiction des déplacements interurbains, de la gestion de l’aide alimentaire aux populations les plus démunies, de la préparation de la campagne agricole, de l’aide aux différents secteurs de l’économie touchés par une forte réduction des activités industrielles, commerciales ou agricoles, de la reprise des enseignements au niveau de l’éducation nationale, de l’ouverture des lieux de culte et de la sécurité publique etc. Tout cela, insiste le document, a fini de pousser les populations à exprimer leur peine et leurs souffrances en manifestant parfois, bruyamment et violemment.
« Les personnels de santé, placés en première ligne du front et largement touchés par le virus, continuent d’exercer courageusement leur métier, en dépit d’un plateau médical réduit à son strict minimum, dans un environnement qui ne favorise pas toujours le maintien du moral au beau fixe », lit-on.
En raison de tout ce qui précède, et d’autres actes non mentionnés, le Fnr exprime sa vive préoccupation au sujet de la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement du Sénégal. « La pandémie est encore devant nous. Et, la situation sanitaire, économique et sociale pourrait encore empirer à travers le monde, et particulièrement au Sénégal. La menace est générale. Et, à terme, aucun secteur, aucun segment, aucune entité ne sera épargnée », exprime-t-on.
Dans une situation de guerre, le Frn précise que les combats ne seront gagnés qu’avec la participation de tous, lorsque la stratégie bien définie, est comprise et assumée collectivement.
Par ces actes, le Front a démontré sa décision d’accompagner le gouvernement, sans considération partisane, plaçant l’intérêt du Sénégal au-dessus de tout autre.
D’après le communiqué, dans cette guerre contre la pandémie du Covid-19, le Frn a incontestablement joué son rôle et participé aux combats sans jamais remettre en cause fondamentalement, les choix du président de la République ou du gouvernement.
Cependant, l’image de tout un pays uni derrière son chef en temps de guerre, considère-t-on, a été écornée par la persistance de choix et de décisions souvent unilatérales, à l’opposé de la volonté manifestée au début, d’impliquer tous les acteurs, y compris l’opposition, dans la prise des décisions ou alors, des décisions précipitées qui contribuent à exacerber et à renforcer les critiques ou réserves de toutes natures.
Il en est ainsi de la prolongation de l’état d’urgence, d’après la source, des aménagements du couvre-feu et de l’interdiction des déplacements interurbains, de la gestion de l’aide alimentaire aux populations les plus démunies, de la préparation de la campagne agricole, de l’aide aux différents secteurs de l’économie touchés par une forte réduction des activités industrielles, commerciales ou agricoles, de la reprise des enseignements au niveau de l’éducation nationale, de l’ouverture des lieux de culte et de la sécurité publique etc. Tout cela, insiste le document, a fini de pousser les populations à exprimer leur peine et leurs souffrances en manifestant parfois, bruyamment et violemment.
« Les personnels de santé, placés en première ligne du front et largement touchés par le virus, continuent d’exercer courageusement leur métier, en dépit d’un plateau médical réduit à son strict minimum, dans un environnement qui ne favorise pas toujours le maintien du moral au beau fixe », lit-on.
En raison de tout ce qui précède, et d’autres actes non mentionnés, le Fnr exprime sa vive préoccupation au sujet de la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement du Sénégal. « La pandémie est encore devant nous. Et, la situation sanitaire, économique et sociale pourrait encore empirer à travers le monde, et particulièrement au Sénégal. La menace est générale. Et, à terme, aucun secteur, aucun segment, aucune entité ne sera épargnée », exprime-t-on.
Dans une situation de guerre, le Frn précise que les combats ne seront gagnés qu’avec la participation de tous, lorsque la stratégie bien définie, est comprise et assumée collectivement.