L’union entre Alpha Blondy et Aelyssa Darragi n’arrête pas de faire couler beaucoup d’encre et de salive. A peine le chanteur a officialisé sa relation avec la Tunisienne que les langues se délient sur les pratiques peu orthodoxes dont il se serait rendu coupable.
Après sa première épouse, Ran Youn Koné, qui a dénoncé le traitement subi de la part du reggaeman sans rompre leur union, Alpha Blondy pourrait perdre gros, si l’affaire venait à atterrir devant la justice.
En effet, la loi ivoirienne n’autorise pas un second mariage alors que le premier n’est pas encore rompu. C’est justement ce qui se serait passé dans le cas du chanteur, qui n’aurait pas divorcé de son épouse coréenne Ran, avant de s’enticher d’avec la Tunisienne.
Selon l’article 455 du Code Pénal ivoirien, « quiconque étant engagé dans les liens du mariage en contracte un autre avant la dissolution du précédent, est puni d’un emprisonnement de six mois à trois ans et d’une amende de 50.000 à 500.000 francs ». Cette loi n’épargne pas le maire célébrant, encore moins le ministre du culte qui connaissant le précédent, a accepté cette deuxième union
« L’officier de l’état-civil ou le Ministre du culte qui prête son Ministère à ce mariage connaissant l’existence du précédent, est condamné à la même peine », continue l’article 455 cité.
Dans cette configuration, le ministre et maire de la commune d’Abobo ayant célébré l’union, pourraient également connaître le même sort que Seydou Koné.
Après sa première épouse, Ran Youn Koné, qui a dénoncé le traitement subi de la part du reggaeman sans rompre leur union, Alpha Blondy pourrait perdre gros, si l’affaire venait à atterrir devant la justice.
En effet, la loi ivoirienne n’autorise pas un second mariage alors que le premier n’est pas encore rompu. C’est justement ce qui se serait passé dans le cas du chanteur, qui n’aurait pas divorcé de son épouse coréenne Ran, avant de s’enticher d’avec la Tunisienne.
Selon l’article 455 du Code Pénal ivoirien, « quiconque étant engagé dans les liens du mariage en contracte un autre avant la dissolution du précédent, est puni d’un emprisonnement de six mois à trois ans et d’une amende de 50.000 à 500.000 francs ». Cette loi n’épargne pas le maire célébrant, encore moins le ministre du culte qui connaissant le précédent, a accepté cette deuxième union
« L’officier de l’état-civil ou le Ministre du culte qui prête son Ministère à ce mariage connaissant l’existence du précédent, est condamné à la même peine », continue l’article 455 cité.
Dans cette configuration, le ministre et maire de la commune d’Abobo ayant célébré l’union, pourraient également connaître le même sort que Seydou Koné.