Les acteurs les plus touchés par la pandémie sont sans aucun doute les commerçants des marchés hebdomadaires. Les mesures restrictives imposées par les autorités, ont plongé ces derniers dans le désarroi.
Ils en ont profité, à travers une conférence de presse tenue, pour tirer la sonnette d’alarme. Ce, après une année d’inactivité et étant sous la pression des banques, la reprise des activités au niveau des marchés hebdomadaires a dépassé, aux yeux des commerçants, une demande.
Car, selon lui, après une année d’inactivité, au moment où tous les marchés fonctionnent, et vingt ans de présence sur le terrain sans jamais avoir été à l’origine d’une quelconque forme de remous ou de revendications, absents aussi de toutes les politiques de résilience, la réouverture des marchés hebdomadaires est aussi une question de survie d’une partie de la population sénégalaise, dont la contribution économique n’a jamais été mesurée à sa juste valeur.
« Face à cette pandémie, nous nous engageons et invitons à tous les citoyens à respecter les mesures barrières, de participer de façon responsable au combat face à la Covid-19», a souligné Ndongo Fall.
Pour ce dernier, cette déclaration face à la presse est une précision : «Elle n’est liée à aucune appartenance politique, syndicale ou religieuse», a précisé le président de l’Association des commerçants des marchés hebdomadaires.
Par ailleurs, à l’écoute du discours à la Nation du président de la République, Macky Sall, le lundi dernier, les commerçants des marchés hebdomadaires ont estimé que le chef de l’État a bien senti et identifié les préoccupations prioritaires des Sénégalais.
«Les commerçants des marchés hebdomadaires vivent une situation de précarité extrême. Ce qui justifie notre impatience de voir cette situation, qui est allée jusqu’à infecter l’intérêt des préoccupations économiques du pays et la stabilité sociale, évoluer. Nous allons faire en sorte que les mesures-barrières soient respectées», disent-ils.
Ils en ont profité, à travers une conférence de presse tenue, pour tirer la sonnette d’alarme. Ce, après une année d’inactivité et étant sous la pression des banques, la reprise des activités au niveau des marchés hebdomadaires a dépassé, aux yeux des commerçants, une demande.
Car, selon lui, après une année d’inactivité, au moment où tous les marchés fonctionnent, et vingt ans de présence sur le terrain sans jamais avoir été à l’origine d’une quelconque forme de remous ou de revendications, absents aussi de toutes les politiques de résilience, la réouverture des marchés hebdomadaires est aussi une question de survie d’une partie de la population sénégalaise, dont la contribution économique n’a jamais été mesurée à sa juste valeur.
« Face à cette pandémie, nous nous engageons et invitons à tous les citoyens à respecter les mesures barrières, de participer de façon responsable au combat face à la Covid-19», a souligné Ndongo Fall.
Pour ce dernier, cette déclaration face à la presse est une précision : «Elle n’est liée à aucune appartenance politique, syndicale ou religieuse», a précisé le président de l’Association des commerçants des marchés hebdomadaires.
Par ailleurs, à l’écoute du discours à la Nation du président de la République, Macky Sall, le lundi dernier, les commerçants des marchés hebdomadaires ont estimé que le chef de l’État a bien senti et identifié les préoccupations prioritaires des Sénégalais.
«Les commerçants des marchés hebdomadaires vivent une situation de précarité extrême. Ce qui justifie notre impatience de voir cette situation, qui est allée jusqu’à infecter l’intérêt des préoccupations économiques du pays et la stabilité sociale, évoluer. Nous allons faire en sorte que les mesures-barrières soient respectées», disent-ils.