Puis, il clarifie longuement ses origines : "Mon père donc, c’est le lieu de parler de lui puisqu’il m’a permis de naître en ce jour, n’est pas un français longtemps établi au Sénégal. Il est sénégalais né au cœur du Saloum, de père né au Sénégal, de mère née au Sénégal. Mes deux arrières-grands parents maternel et paternel, Samba Diop et Joseph Seignac, sont tous deux nés à Saint-Louis, donc citoyens français. Joseph Seignac est fils de Ferdinand Seignac Lesseps, gouverneur du Sénégal, Samba Diop fils de Guissaly Nder, originaire du Walo. Mon père a refait sa vie comme cela peut arriver, mais j’entretiens avec lui la plus grande complicité. Il m’a éduqué selon les valeurs qui guident encore ma vie, aux côtés de mes autres frères et sœurs, à la Cité Som où enfant, j’ai goûté au journalisme, à Usine Niarri Tally, aux Hlm et ensuite à Dieuppeul où il vit présentement. J’ai avec lui des rapports empreints d’affection parce qu’en plus d’être son seul fils qui ait suivi sa voie, je porte fièrement le nom de son meilleur ami, journaliste à l’Aps, aujourd’hui décédé. L’amour de mon père, depuis mes tendres vacances chez son ami Moussa Ndoye, ancien gouverneur de Kaolack jusqu’aux moments que nous avons partagés pendant mon adolescence, ne m’a jamais fait défaut, son soutien non plus. Il m’exprime encore la même affection et ne reste jamais une semaine sans m’appeler.
Tout ce qui précède, mes amis du journal Le Quotidien le savent très bien, puisqu’à sa retraite au Soleil, j’ai convaincu mon père de prendre la Direction commerciale du Groupe Walfadjri naissant. J’ai été à la base d’une expérience qui se poursuit encore, 13 ans après. J’ai été animateur d’une émission politique à Walf Fm et journaliste politique au quotidien en même temps que Mamadou Biaye et Madiambal Diagne, qui sont aujourd’hui à la tête du journal Le Quotidien.
Ma mère, tout le temps calomniée, est une enseignante de formation qui a fait carrière au Sénégal et à l’étranger, notamment au Venezuela et aux Etats-Unis. Elle est mariée depuis 34 ans avec le même homme, engagée au sein de la communauté Tijaan. Il n’était point besoin de se livrer à de telles confidences, mais je dois ce témoignage à mes parents. Mon père, qui sait souvent se montrer gaillard, a été blessé par les déclarations parues dans le journal Le Quotidien. C’est donc la dernière fois que je vais me prononcer sur ce sujet.
Pour en revenir à ces accusations, je n’ai jamais proféré de menaces de mort contre qui que ce soit. Il s’agit d’un prétexte fallacieux pour justifier des attaques qui visent à me discréditer auprès de l’opinion. La même personne qui m’accuse déclarait dans une interview précédente, dans le même journal, que j’étais incapable de faire du mal à une mouche."
Comment il gagne sa vie ? "Tous ceux qui me connaissent savent les rapports distants que j’entretiens avec l’argent. Mais il y a toujours de la place pour semer le doute dans l’esprit des honnêtes gens. Tout ceci pour dire que j’exige de la personne qui porte de telles accusations et ceux qui les colportent, qu’ils rendent leurs preuves publiques. Depuis mon arrivée au Canada, j’ai travaillé comme pigiste aux magazines TVA, rédacteur de nouvelles et animateur d’émission à Radio Ville Marie avec le numéro d’emploi 0062-100, rédacteur présentateur à CBC radio-canada, numéro d’emploi 100011543 D. J’ai une entreprise de communication immatriculée 33649904119, au Québec. Pour venir en aide aux journalistes victimes de l’arbitraire comme moi, j’ai créé l’Ong Médias solidaires ou United Medias, immatriculée au Québec, dont je suis le président. Je suis éditeur correcteur à temps plein pour un média bien connu. Je suis consultant à CANADEM pour de nombreuses organisations internationales. Je suis auteur de trois publications dont deux ont été des succès de librairie et je publie dans des revues internationales, en plus d’être chroniqueur.
Je ne dors pas la nuit parce qu’il me faut travailler deux fois plus que les autres, pour assurer ma subsistance. La vie n’a pas toujours été belle pour moi, mais je partage le peu que j’ai avec les membres de ma famille. Mon père, ma mère et mes frères pourront en témoigner. "
politicosn.com
Tout ce qui précède, mes amis du journal Le Quotidien le savent très bien, puisqu’à sa retraite au Soleil, j’ai convaincu mon père de prendre la Direction commerciale du Groupe Walfadjri naissant. J’ai été à la base d’une expérience qui se poursuit encore, 13 ans après. J’ai été animateur d’une émission politique à Walf Fm et journaliste politique au quotidien en même temps que Mamadou Biaye et Madiambal Diagne, qui sont aujourd’hui à la tête du journal Le Quotidien.
Ma mère, tout le temps calomniée, est une enseignante de formation qui a fait carrière au Sénégal et à l’étranger, notamment au Venezuela et aux Etats-Unis. Elle est mariée depuis 34 ans avec le même homme, engagée au sein de la communauté Tijaan. Il n’était point besoin de se livrer à de telles confidences, mais je dois ce témoignage à mes parents. Mon père, qui sait souvent se montrer gaillard, a été blessé par les déclarations parues dans le journal Le Quotidien. C’est donc la dernière fois que je vais me prononcer sur ce sujet.
Pour en revenir à ces accusations, je n’ai jamais proféré de menaces de mort contre qui que ce soit. Il s’agit d’un prétexte fallacieux pour justifier des attaques qui visent à me discréditer auprès de l’opinion. La même personne qui m’accuse déclarait dans une interview précédente, dans le même journal, que j’étais incapable de faire du mal à une mouche."
Comment il gagne sa vie ? "Tous ceux qui me connaissent savent les rapports distants que j’entretiens avec l’argent. Mais il y a toujours de la place pour semer le doute dans l’esprit des honnêtes gens. Tout ceci pour dire que j’exige de la personne qui porte de telles accusations et ceux qui les colportent, qu’ils rendent leurs preuves publiques. Depuis mon arrivée au Canada, j’ai travaillé comme pigiste aux magazines TVA, rédacteur de nouvelles et animateur d’émission à Radio Ville Marie avec le numéro d’emploi 0062-100, rédacteur présentateur à CBC radio-canada, numéro d’emploi 100011543 D. J’ai une entreprise de communication immatriculée 33649904119, au Québec. Pour venir en aide aux journalistes victimes de l’arbitraire comme moi, j’ai créé l’Ong Médias solidaires ou United Medias, immatriculée au Québec, dont je suis le président. Je suis éditeur correcteur à temps plein pour un média bien connu. Je suis consultant à CANADEM pour de nombreuses organisations internationales. Je suis auteur de trois publications dont deux ont été des succès de librairie et je publie dans des revues internationales, en plus d’être chroniqueur.
Je ne dors pas la nuit parce qu’il me faut travailler deux fois plus que les autres, pour assurer ma subsistance. La vie n’a pas toujours été belle pour moi, mais je partage le peu que j’ai avec les membres de ma famille. Mon père, ma mère et mes frères pourront en témoigner. "
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