Contrairement aux chefs d’accusations d’appel à la subversion, recel et diffusion de documents estampillés « secret défense » et propagation de fausses nouvelles avancés, Ousmane Sonko a révélé qu’il serait finalement « reproché au journaliste Pape Alé Niang, d’avoir divulgué un document de la police nationale, pris en prélude à l’audition d’un leader politique et instruisant des mesures sécuritaires d’avoir publié un autre document concernant les sapeurs-pompiers; d’avoir détenu un document volé, estampillé confidentiel ».
« Pape Alé Niang a soutenu avoir vu le document de la police en question sur Internet, comme tout le monde, et n’avoir jamais publié le document des sapeurs-pompiers.
Après des heures de concertation, le pouvoir a finalement dévoilé le vrai motif de l’arrestation : le rapport interne de la gendarmerie qui met sens dessus-dessous toute la sphère des comploteurs d’Etat. Parce qu’ils en connaissent toutes les implications et ont peur de mettre en exergue ce document explosif. Peine perdue ! Ce document est bien là et où il faut », a posté l’opposant du régime en place, tout en exigeant la libération du journaliste.
« Pape Alé Niang a soutenu avoir vu le document de la police en question sur Internet, comme tout le monde, et n’avoir jamais publié le document des sapeurs-pompiers.
Après des heures de concertation, le pouvoir a finalement dévoilé le vrai motif de l’arrestation : le rapport interne de la gendarmerie qui met sens dessus-dessous toute la sphère des comploteurs d’Etat. Parce qu’ils en connaissent toutes les implications et ont peur de mettre en exergue ce document explosif. Peine perdue ! Ce document est bien là et où il faut », a posté l’opposant du régime en place, tout en exigeant la libération du journaliste.