L’Observateur informe que pour éviter le syndrome Khadim Bousso, les éléments de la Bip n’auraient pas donné à Habré le temps de monter dans sa chambre se changer, étant entendu qu’il avait menacé de se suicider si les forces de sécurité tentaient de l’arrêter. Ses avocats et membres de sa famille parlent, eux, de kidnapping.
Pour rappel, l’ancien chef d’Etat tchadien est poursuivi pour crimes contre l’humanité, crimes de guerre et torture. Il attend son audition par le procureur général des chambres africaines extraordinaires. Ce dernier va tenir ce matin une conférence de presse pour revenir sur cette affaire.
Pour rappel, l’ancien chef d’Etat tchadien est poursuivi pour crimes contre l’humanité, crimes de guerre et torture. Il attend son audition par le procureur général des chambres africaines extraordinaires. Ce dernier va tenir ce matin une conférence de presse pour revenir sur cette affaire.