Partira, partira pas ? Le suspens s’intensifie autour de Robin Van Persie. Comme nous vous le rapportions hier, l’attaquant néerlandais a décidé de ne pas partir avec Arsenal en stage de pré-saison en Malaisie. Une indication majeure sur son désir de départ ? Pas du tout selon Arsène Wenger, qui s’est exprimé sur le site officiel du club. Pour l’entraîneur français, RVP est resté à Londres « pour parfaire sa condition physique ». On a le droit d’être circonspect.
« Pour moi, Van Persie est l’un des meilleurs buteurs au monde, si ce n’est le meilleur, et mon désir est de le garder au club. Je ferai en fonction des intérêts d’Arsenal. Voilà où nous en sommes. Il n’y a pas grand-chose à dire de plus », a poursuivi Wenger. Une déclaration qui ressemble comme deux gouttes d’eau à celle effectuée il y a un an à propos de Samir Nasri. Le 12 août 2011, Wenger assurait : « je ne m’attends à aucun départ. Pour le moment, il n’y a pas de nouvelles. S’il y en a, je promets que je vous en donnerais. Je déciderai ce qui est le mieux pour le club ». Onze jours plus tard, Nasri filait à Manchester City.
Dans ce genre de cas, la position officielle de l’entraîneur français ne sert souvent qu’à cacher la réalité. Plus que jamais, les Gunners peuvent craindre un départ de leur buteur vedette, ardemment courtisé par MU, Man City et la Juventus. Wenger, lui, croit en l’amour de Van Persie pour Arsenal. « Tant que tu es quelque part, tu fais ton maximum pour le club. Si ça change, c’est comme ça. Je suis convaincu que Robin est totalement concentré sur son travail chaque jour. Il aime le football, il aime le jeu et tant qu’il sera là, il fera son maximum », a-t-il lancé. Tant qu’il sera là…
Aurélien Léger-Moëc
« Pour moi, Van Persie est l’un des meilleurs buteurs au monde, si ce n’est le meilleur, et mon désir est de le garder au club. Je ferai en fonction des intérêts d’Arsenal. Voilà où nous en sommes. Il n’y a pas grand-chose à dire de plus », a poursuivi Wenger. Une déclaration qui ressemble comme deux gouttes d’eau à celle effectuée il y a un an à propos de Samir Nasri. Le 12 août 2011, Wenger assurait : « je ne m’attends à aucun départ. Pour le moment, il n’y a pas de nouvelles. S’il y en a, je promets que je vous en donnerais. Je déciderai ce qui est le mieux pour le club ». Onze jours plus tard, Nasri filait à Manchester City.
Dans ce genre de cas, la position officielle de l’entraîneur français ne sert souvent qu’à cacher la réalité. Plus que jamais, les Gunners peuvent craindre un départ de leur buteur vedette, ardemment courtisé par MU, Man City et la Juventus. Wenger, lui, croit en l’amour de Van Persie pour Arsenal. « Tant que tu es quelque part, tu fais ton maximum pour le club. Si ça change, c’est comme ça. Je suis convaincu que Robin est totalement concentré sur son travail chaque jour. Il aime le football, il aime le jeu et tant qu’il sera là, il fera son maximum », a-t-il lancé. Tant qu’il sera là…
Aurélien Léger-Moëc
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