Le budget du ministère de l’environnement et du développement durable, arrêté à la somme de 44 899 115 513 FCfa a été examiné, ce lundi à l’Assemblée nationale. Abdou karim Sall qui a défendu le projet, a été beaucoup interpellé sur la question des gazelles oryx. Et pour répondre à ces interpellations, le ministre a, d’abord rappelé l’historique de l’introduction de ces antilopes au Sénégal. Ainsi, a-t-il indiqué que ces espèces ont été réintroduites au Sénégal à partir d’Israël en 1999.
Sous ce rapport, le ministre a précisé que l’Etat a pris toutes les dispositions requises, afin de veiller au bien-être des espèces, dans le respect des principes généraux de la conservation de la faune sauvage. Il a également indiqué que notre pays a une solide expérience dans le domaine de l’élevage de la faune sauvage.
«Ainsi, tout acteur intéressé par la gestion durable de cette faune en captivité ou semi captivité peut en manifester le besoin, se faire évaluer par ses services techniques et obtenir un protocole, après avoir rempli toutes les capacités requises pour leur conservation», explique-t-il.
Il dira que l’Etat du Sénégal a, dans ce sillage, fourni, six (6) oryx à la république sœur de la Mauritanie, dans le cadre du repeuplement de sa population de faune sauvage. Concluant sur ce point, le ministre a rappelé que les espèces intégralement protégées, telles que les gazelles oryx, ne peuvent faire l’objet de transaction commercial international ou d’abattage.
Sous ce rapport, le ministre a précisé que l’Etat a pris toutes les dispositions requises, afin de veiller au bien-être des espèces, dans le respect des principes généraux de la conservation de la faune sauvage. Il a également indiqué que notre pays a une solide expérience dans le domaine de l’élevage de la faune sauvage.
«Ainsi, tout acteur intéressé par la gestion durable de cette faune en captivité ou semi captivité peut en manifester le besoin, se faire évaluer par ses services techniques et obtenir un protocole, après avoir rempli toutes les capacités requises pour leur conservation», explique-t-il.
Il dira que l’Etat du Sénégal a, dans ce sillage, fourni, six (6) oryx à la république sœur de la Mauritanie, dans le cadre du repeuplement de sa population de faune sauvage. Concluant sur ce point, le ministre a rappelé que les espèces intégralement protégées, telles que les gazelles oryx, ne peuvent faire l’objet de transaction commercial international ou d’abattage.