Des allégations fausses et mensongères dont l’auteur ne semble pas mesurer la portée, provenant d’un candidat à l’élection présidentielle, ne peut être considéré que par une volonté farouche de nuire et discréditer un adversaire qu’il doit craindre foncièrement, dont il veut semer le doute dans l’esprit des Sénégalais. Par cet acte posé, qui manque de grandeur, l’anonyme candidat, qui se comporte comme un lâche, dévoile au grand jour au peuple sa véritable nature distinctive, indigne de prétendre à solliciter leurs suffrages, pour accéder à la Magistrature suprême. Formuler des insinuations inconséquentes insidieuses, avec à la clé, injure, menace et chantage contre un adversaire politique, dans l’anonymat du clavier, n’est guère valorisant. Elle dénote de manière claire le caractère d’un homme ébranlé par la popularité avérée d’un concurrent qu’il craint suffisamment, pour vouloir tant le nuire. Cela dépasse l’entendement !
Le règne du pouvoir finissant, à l’approche des prochaines joutes électorales, ne peut s’empêcher de crier aux loups, pour créer une certaine peur aux Sénégalais. Alors que c’est le pouvoir même qui a peur de l’homme d’Etat Macky Sall, qui dispose de tous les attributs pour diriger le Sénégal. Conscient de son rejet par les populations et pris de panique, le parti au pouvoir tente par tous les moyens de nuire, discréditer, dévaloriser le leader républicain auprès du peuple. Dépité, il ne lui reste plus que l’arme imparable des insinuations, calomnies, diffamations, dénigrements, menace, chantage, pour pouvoir parvenir à ses fins. C’est effrayant et indigne d’un débat républicain : attaques infamantes et injures qui n’honorent pas l’auteur et dont ses propos excessifs font honte à la République.
Dans une période électorale trop angoissante pour lui, le régime en fin de règne essaye, par n’importe quel moyen, de jouer sa survie en faisant de la nuisance et du discrédit une bouée de sauvetage, au lieu de parler des vrais problèmes des Sénégalais et de son bilan sombre des douze années de son règne, qu’il tient absolument à vouloir escamoter, par des manœuvres infondées et des pratiques d’une époque révolue, indigne d’une nation en Etat de droit. C’est une tactique clanique du pouvoir : diligenter cette attitude veule et indigne pour vilipender, dénigrer et discréditer un adversaire que l’on craint est déplorable, pour des hommes politiques arrogants qui se croient propriétaires du pouvoir. Alors que le Sénégal qui est notre patrimoine commun, n’est la propriété de personne. Les déclarations fracassantes du candidat déclaré à l’élection présidentielle, par lesquelles il traite de manière impersonnelle, son distingué concurrent à l’élection présidentielle de voyou, est considérée comme une « attaque de caniveau ». Car, lorsqu’un prétendant à une fonction aussi honorable que celle d’un Chef d’Etat, en est réduit à utiliser anonymement des attaques, insinuations diffamantes, menace et insulte contre son adversaire, il y a lieu non pas à répliquer mais de se poser la question fatidique : « Quel est cet individu qui se comporte si affreusement et se cache derrière cette candidature ? On ne peut en déduire, après mûres réflexions, que cela ne peut provenir que d’un véritable voyou de la République. C’est pour cette raison essentielle que le Président de l’APR appelle tous les candidats à la présidentielle, et notamment au candidat du pouvoir, à plus de retenue dans les propos, car il y a des mots qui sont lourds de signification et que l’on se doit de ne pas employer dans un débat républicain.
Le Président Macky Sall est actuellement, parmi la classe politique sénégalaise, l’un des hommes politiques le plus intègre qui soit, prétendant à la Magistrature suprême. Au moment où notre pays traverse l’un des pires moments de son histoire, le leader républicain pèsera de tout son poids dans l’élection présidentielle où, durant la campagne il présentera son projet de société avec confiance aux populations. « Ce projet de société, comme l’énonce à juste titre, M. Diène Farba Sarr, « qui est le fruit d’un travail élaboré à la lumière de sa propre expérience, a été construit à partir du potentiel, de l’intelligence, de l’histoire et de la diversité culturelle et religieuse du peuple sénégalais. Ayant occupé des fonctions dans les plus hautes sphères de l’Etat, notamment comme Premier Ministre entre 2004 et 2007, période pendant laquelle il capitalisera une très grande expérience, qui lui permet aujourd’hui de pouvoir appréhender au mieux les rectificatifs, concernant les dysfonctionnements naguère constatés dans la marche des institutions, afin de bâtir une vision porteuse pour un Sénégal prospère.»
Dans « Vision Francophone » d’octobre 2011, le journaliste Abdoulaye Thiam n’affirmait-il pas déjà dans son Editorial « L’espoir renait avec Macky Sall : « Au carrefour d’un destin exceptionnel fait d’interrogations et d’inquiétudes, le peuple porte un regard sur l’un de ses fils plus talentueux, pour scruter avec optimisme le ciel de son avenir qui se joue dans moins d’un mois et demi. Ancien ministre de l’intérieur, ancien ministre d’Etat, ministre de l’Industrie et des mines, ancien Premier ministre, ancien Président de l’Assemblée nationale du Sénégal, aucun homme politique de sa jeune génération n’a bénéficié d’un tel parcours, et s’il vous plaît sans faute. Ce sont autant d’atouts qui placent le Président de l’APR comme le favori de la prochaine échéance présidentielle, tant l’espoir qu’il suscite dépasse les frontières de son parti. Des segments entiers des populations des villes et des campagnes ; des patriotes et cadres de tous les compartiments socio-économiques, des partenaires stratégiques du Sénégal qui l’ont pratiqué et admiré, tous s’accordent sur son sérieux au travail, sa capacité d’écoute, ses talents de manager des ressources humaines, son sens de développement d’un leadership collectif, et enfin sur son pragmatisme dans le choix des priorités en matière de politiques économiques et sociales. Macky Sall se révèle comme le facteur unificateur des forces politiques éparses au sein de la famille libérale, des partis de gauche et du centre, des mouvements multidimensionnels de jeunes et de la société en quête de perspectives.
C’est pourquoi, il détient la clef de la sortie de la crise politique, car l’opposition et des secteurs importants de la majorité s’appuient sur le capital de crédit de confiance dont il jouit incontestablement. « Jouez », conclut-il « la carte Macky, c’est gagner les élections présidentielles de 2012… Sans aucun doute ! A la lecture de cet article sur Pressafric.com, où l’on observe avec ahurissement qu’un impétrant déclaré à la présidentielle de 2012, cultiver l’invective et l’injure sous l’anonymat le plus complet, l’on ne cesse de ruminer la honte et le mal qui nous étreignent. C’est extrêmement triste de constater qu’un concurrent à la Magistrature suprême, au lieu d’élever le débat, de respecter son adversaire dans la différence des convictions personnelles politiques et d’admettre que l’autre peut avoir une conviction différente de la sienne, couvre d’attaques, d’insinuations calomnieuses et d’injure, sans se préoccuper le moins du monde de l’image fortement négative qu’il renvoie à la face du monde, et aux millions d’africains qui ont toujours admiré notre pays, pour son ouverture et la tolérance de son peuple.
Cellule Communication
CCR de France
Le règne du pouvoir finissant, à l’approche des prochaines joutes électorales, ne peut s’empêcher de crier aux loups, pour créer une certaine peur aux Sénégalais. Alors que c’est le pouvoir même qui a peur de l’homme d’Etat Macky Sall, qui dispose de tous les attributs pour diriger le Sénégal. Conscient de son rejet par les populations et pris de panique, le parti au pouvoir tente par tous les moyens de nuire, discréditer, dévaloriser le leader républicain auprès du peuple. Dépité, il ne lui reste plus que l’arme imparable des insinuations, calomnies, diffamations, dénigrements, menace, chantage, pour pouvoir parvenir à ses fins. C’est effrayant et indigne d’un débat républicain : attaques infamantes et injures qui n’honorent pas l’auteur et dont ses propos excessifs font honte à la République.
Dans une période électorale trop angoissante pour lui, le régime en fin de règne essaye, par n’importe quel moyen, de jouer sa survie en faisant de la nuisance et du discrédit une bouée de sauvetage, au lieu de parler des vrais problèmes des Sénégalais et de son bilan sombre des douze années de son règne, qu’il tient absolument à vouloir escamoter, par des manœuvres infondées et des pratiques d’une époque révolue, indigne d’une nation en Etat de droit. C’est une tactique clanique du pouvoir : diligenter cette attitude veule et indigne pour vilipender, dénigrer et discréditer un adversaire que l’on craint est déplorable, pour des hommes politiques arrogants qui se croient propriétaires du pouvoir. Alors que le Sénégal qui est notre patrimoine commun, n’est la propriété de personne. Les déclarations fracassantes du candidat déclaré à l’élection présidentielle, par lesquelles il traite de manière impersonnelle, son distingué concurrent à l’élection présidentielle de voyou, est considérée comme une « attaque de caniveau ». Car, lorsqu’un prétendant à une fonction aussi honorable que celle d’un Chef d’Etat, en est réduit à utiliser anonymement des attaques, insinuations diffamantes, menace et insulte contre son adversaire, il y a lieu non pas à répliquer mais de se poser la question fatidique : « Quel est cet individu qui se comporte si affreusement et se cache derrière cette candidature ? On ne peut en déduire, après mûres réflexions, que cela ne peut provenir que d’un véritable voyou de la République. C’est pour cette raison essentielle que le Président de l’APR appelle tous les candidats à la présidentielle, et notamment au candidat du pouvoir, à plus de retenue dans les propos, car il y a des mots qui sont lourds de signification et que l’on se doit de ne pas employer dans un débat républicain.
Le Président Macky Sall est actuellement, parmi la classe politique sénégalaise, l’un des hommes politiques le plus intègre qui soit, prétendant à la Magistrature suprême. Au moment où notre pays traverse l’un des pires moments de son histoire, le leader républicain pèsera de tout son poids dans l’élection présidentielle où, durant la campagne il présentera son projet de société avec confiance aux populations. « Ce projet de société, comme l’énonce à juste titre, M. Diène Farba Sarr, « qui est le fruit d’un travail élaboré à la lumière de sa propre expérience, a été construit à partir du potentiel, de l’intelligence, de l’histoire et de la diversité culturelle et religieuse du peuple sénégalais. Ayant occupé des fonctions dans les plus hautes sphères de l’Etat, notamment comme Premier Ministre entre 2004 et 2007, période pendant laquelle il capitalisera une très grande expérience, qui lui permet aujourd’hui de pouvoir appréhender au mieux les rectificatifs, concernant les dysfonctionnements naguère constatés dans la marche des institutions, afin de bâtir une vision porteuse pour un Sénégal prospère.»
Dans « Vision Francophone » d’octobre 2011, le journaliste Abdoulaye Thiam n’affirmait-il pas déjà dans son Editorial « L’espoir renait avec Macky Sall : « Au carrefour d’un destin exceptionnel fait d’interrogations et d’inquiétudes, le peuple porte un regard sur l’un de ses fils plus talentueux, pour scruter avec optimisme le ciel de son avenir qui se joue dans moins d’un mois et demi. Ancien ministre de l’intérieur, ancien ministre d’Etat, ministre de l’Industrie et des mines, ancien Premier ministre, ancien Président de l’Assemblée nationale du Sénégal, aucun homme politique de sa jeune génération n’a bénéficié d’un tel parcours, et s’il vous plaît sans faute. Ce sont autant d’atouts qui placent le Président de l’APR comme le favori de la prochaine échéance présidentielle, tant l’espoir qu’il suscite dépasse les frontières de son parti. Des segments entiers des populations des villes et des campagnes ; des patriotes et cadres de tous les compartiments socio-économiques, des partenaires stratégiques du Sénégal qui l’ont pratiqué et admiré, tous s’accordent sur son sérieux au travail, sa capacité d’écoute, ses talents de manager des ressources humaines, son sens de développement d’un leadership collectif, et enfin sur son pragmatisme dans le choix des priorités en matière de politiques économiques et sociales. Macky Sall se révèle comme le facteur unificateur des forces politiques éparses au sein de la famille libérale, des partis de gauche et du centre, des mouvements multidimensionnels de jeunes et de la société en quête de perspectives.
C’est pourquoi, il détient la clef de la sortie de la crise politique, car l’opposition et des secteurs importants de la majorité s’appuient sur le capital de crédit de confiance dont il jouit incontestablement. « Jouez », conclut-il « la carte Macky, c’est gagner les élections présidentielles de 2012… Sans aucun doute ! A la lecture de cet article sur Pressafric.com, où l’on observe avec ahurissement qu’un impétrant déclaré à la présidentielle de 2012, cultiver l’invective et l’injure sous l’anonymat le plus complet, l’on ne cesse de ruminer la honte et le mal qui nous étreignent. C’est extrêmement triste de constater qu’un concurrent à la Magistrature suprême, au lieu d’élever le débat, de respecter son adversaire dans la différence des convictions personnelles politiques et d’admettre que l’autre peut avoir une conviction différente de la sienne, couvre d’attaques, d’insinuations calomnieuses et d’injure, sans se préoccuper le moins du monde de l’image fortement négative qu’il renvoie à la face du monde, et aux millions d’africains qui ont toujours admiré notre pays, pour son ouverture et la tolérance de son peuple.
Cellule Communication
CCR de France