S’agissant du pays d’Alassane Ouattara, l’organisme dénonce l’acharnement contre le 1er secrétaire confédéral adjoint, Atse Désiré, de la Confédération générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (CGT-CI) et secrétaire général national du Syndicat des enseignants de l’éducation nationale de l'enseignement technique et professionnel (Syenet), qui a subi une “exclusion temporaire d'une durée de quatre mois”, pour “abandon de poste depuis le 17 novembre 2022”.
Or, selon le collectif, il n’en est rien. Il dénonce : “Depuis la participation aux travaux de mise en place de l’Organisation panafricaine de l’Afrique de l’Ouest (Opao) en décembre 2022, l’autocratie ivoirienne ne cesse de chercher des poux dans la tête de ce syndicaliste, avant de prétexter un ‘abandon de poste’ qui couvre la période de la conférence panafricaine. Cette mesure arbitraire et illégale, est une flagrante violation des droits syndicaux, que nous condamnons avec la plus grande fermeté".
S’agissant du Sénégal, le CA constate que “plus de 1 500 prisonniers politiques croupissent dans les geôles, y compris le chef de l’opposition, le patriote Ousmane Sonko, son parti Pastef est administrativement dissous, des militants sont en exil, pour avoir fait échec à la troisième candidature anticonstitutionnelle de l’autocratie et dénoncé l’acharnement répressif policier et judiciaire visant à l’empêcher à se présenter à l’élection présidentielle de février 2024”.
Devant ce tableau peu reluisant, les deux présidents Alassance Ouattara et Macky Sall, en prennent pour leur grade. L’association panafricaine de la diaspora en France demande donc, “l’annulation de la mesure punitive arbitraire contre le syndicaliste Atsé Désiré en Côte d’Ivoire” ; “la libération des prisonniers politiques au Sénégal” ; “une élection présidentielle inclusive au Sénégal”.
Le collectif exhorte aussi les deux chefs d’État, d’arrêter d’être “serviles à la Françafrique” et d’arrêter “tout projet de guerre contre le peuple frère du Niger".
Or, selon le collectif, il n’en est rien. Il dénonce : “Depuis la participation aux travaux de mise en place de l’Organisation panafricaine de l’Afrique de l’Ouest (Opao) en décembre 2022, l’autocratie ivoirienne ne cesse de chercher des poux dans la tête de ce syndicaliste, avant de prétexter un ‘abandon de poste’ qui couvre la période de la conférence panafricaine. Cette mesure arbitraire et illégale, est une flagrante violation des droits syndicaux, que nous condamnons avec la plus grande fermeté".
S’agissant du Sénégal, le CA constate que “plus de 1 500 prisonniers politiques croupissent dans les geôles, y compris le chef de l’opposition, le patriote Ousmane Sonko, son parti Pastef est administrativement dissous, des militants sont en exil, pour avoir fait échec à la troisième candidature anticonstitutionnelle de l’autocratie et dénoncé l’acharnement répressif policier et judiciaire visant à l’empêcher à se présenter à l’élection présidentielle de février 2024”.
Devant ce tableau peu reluisant, les deux présidents Alassance Ouattara et Macky Sall, en prennent pour leur grade. L’association panafricaine de la diaspora en France demande donc, “l’annulation de la mesure punitive arbitraire contre le syndicaliste Atsé Désiré en Côte d’Ivoire” ; “la libération des prisonniers politiques au Sénégal” ; “une élection présidentielle inclusive au Sénégal”.
Le collectif exhorte aussi les deux chefs d’État, d’arrêter d’être “serviles à la Françafrique” et d’arrêter “tout projet de guerre contre le peuple frère du Niger".