Il ressort des débats d’audience que Pape Doudou Sy avait surpris son beau-père Omar Samb en train de faire des attouchements àsursa soeur Awa, qui est une déficiente mentale. Il aurait vu le vieux mettre l’une de ses mains sous le pagne de sa sœur et l'autre main tripotant les seins.
A la suite de cette découverte, indique "L'As", une plainte a été déposée à la police par la famille Sy, pour attentat à la pudeur contre le septuagénaire. Face aux enquêteurs, la victime Awa Sy a révélé que le vieux avait l’habitude de lui faire des attouchements avant de lui demander de n’en parler à personne.
Bien qu’il y ait un témoin oculaire, le certificat médical établi par un médecin au centre de santé Dominique atteste que
la fille est toujours vierge. Malgré tout, le vieux Omar Samb a été condamné, le 21 janvier dernier, par le tribunal de Pikine, à 2 ans de prison ferme pour attentat à la pudeur sans violence, en plus d’une amende de 500.000 FCfa.
Non satisfait de cette décision, le mis en cause a interjeté appel. Attrait hier devant la barre de la Cour d’appel de Dakar, le prévenu a contesté les faits après avoir crié au complot. Et dans sa version des faits, il indique que le jour des faits, vers 7 heures du matin, il se trouvait dans sa chambre en train d'égrener son chapelet.
A côté, il y avait Awa Sy, qui rangeait les habits de sa mère dans l’armoire. Et tout d’un coup, affirme-t-il, Pape Doudou Sy s’est mis à crier que Awa a duré dans la chambre. «C’est ainsi qu’il a fait irruption dans la chambre, m’accusant d’abuser de sa sœur. Il s’en est pris à moi et une altercation s’est ensuivie. Il s’est acharné sur moi», raconte l’appelant.
Omar Samb ajoute que son beau-fils ne le supporte pas, même après 14 ans de cohabitation. «Leur père est décédé depuis 2003. J’ai épousé leur mère qui avait 3 enfants et subvenais à leurs besoins. Mais depuis qu'il a commencé à travailler, il me crée des problèmes sans raison. C’est ce jour-là que sa mère m’a demandé le divorce, avant de m’accuser d’avoir fait des attouchements sur sa fille. Je suis en prison depuis le 29 juillet dernier», a indiqué le prévenu, qui dit ne rien regretter dans cette affaire, parce qu’il est accusé à tort.
Lors de sa plaidoirie, le conseil de la défense a demandé que le premier jugement soit infirmé. Une position que partage le parquet général qui a requis l'infirmation de la peine. Délibéré le 15 novembre prochain.
A la suite de cette découverte, indique "L'As", une plainte a été déposée à la police par la famille Sy, pour attentat à la pudeur contre le septuagénaire. Face aux enquêteurs, la victime Awa Sy a révélé que le vieux avait l’habitude de lui faire des attouchements avant de lui demander de n’en parler à personne.
Bien qu’il y ait un témoin oculaire, le certificat médical établi par un médecin au centre de santé Dominique atteste que
la fille est toujours vierge. Malgré tout, le vieux Omar Samb a été condamné, le 21 janvier dernier, par le tribunal de Pikine, à 2 ans de prison ferme pour attentat à la pudeur sans violence, en plus d’une amende de 500.000 FCfa.
Non satisfait de cette décision, le mis en cause a interjeté appel. Attrait hier devant la barre de la Cour d’appel de Dakar, le prévenu a contesté les faits après avoir crié au complot. Et dans sa version des faits, il indique que le jour des faits, vers 7 heures du matin, il se trouvait dans sa chambre en train d'égrener son chapelet.
A côté, il y avait Awa Sy, qui rangeait les habits de sa mère dans l’armoire. Et tout d’un coup, affirme-t-il, Pape Doudou Sy s’est mis à crier que Awa a duré dans la chambre. «C’est ainsi qu’il a fait irruption dans la chambre, m’accusant d’abuser de sa sœur. Il s’en est pris à moi et une altercation s’est ensuivie. Il s’est acharné sur moi», raconte l’appelant.
Omar Samb ajoute que son beau-fils ne le supporte pas, même après 14 ans de cohabitation. «Leur père est décédé depuis 2003. J’ai épousé leur mère qui avait 3 enfants et subvenais à leurs besoins. Mais depuis qu'il a commencé à travailler, il me crée des problèmes sans raison. C’est ce jour-là que sa mère m’a demandé le divorce, avant de m’accuser d’avoir fait des attouchements sur sa fille. Je suis en prison depuis le 29 juillet dernier», a indiqué le prévenu, qui dit ne rien regretter dans cette affaire, parce qu’il est accusé à tort.
Lors de sa plaidoirie, le conseil de la défense a demandé que le premier jugement soit infirmé. Une position que partage le parquet général qui a requis l'infirmation de la peine. Délibéré le 15 novembre prochain.