Le destin semble s’acharner sur le jeune Hubert Dacosta qui depuis sa fugue mène une vie de plus en plus précaire. Depuis le Burkina Faso où il se trouve, celui qui est cité comme le moteur du vol perpétré chez Pape est à deux doigts de mettre un terme à son…existence. Puisque Hubert Dacosta dit dans les colonnes de l’Observateur lues par LERAL.NET qu’il ne peut plus vivre comme un rat, replié dans une chambre qu’il partage avec un gardien qui lui prête de temps de l’argent pour chercher de quoi mettre sous la dent. Pour prendre son bain, l’ami des « fils de…» révèle qu’il est obligé d’attendre 48 heures. A ceci viennent s’ajouter les attaques mystiques auxquelles il doit faire face. « Un jour, je me réveillé, avec un pied enflé. On m’a mis en rapport avec un marabout. Celui-ci m’a remis un gris-gris et une poudre que je devais diluer dans de l’eau à boire. Grace à cela, j’ai pu guérir », confie-t-il à ma consœur de l’Observateur. L’adolescent qui voulait rallier la France est aujourd’hui tenté par l’idée de rentrer au bercail. Mais quand il pense au sort qui l’attend, il risque la prison, le jeune Hubert se serre la ceinture car ne voulant pas payer pour un « crime collectif ».
Un vol de bijoux et autres numéraires commis chez le président du Sénat avait été ébruité par la presse et au centre de ce larcin figurait bien Hubert Dacosta qui a ensuite fait sa sortie pour se tirer d’affaires. Au lieu des 500 millions avancées, Hubert donnant sa version des faits avait placé la somme de 8 millions 800 non sans pointer un doigt accusateur sur les fils de Pape Diop qui, selon le fugitif sont ses complices, lui n’étant que le receleur. Dacosta ne veut pas être l’agneau du sacrifice dans cette affaire. Même son ami le fils de la sénatrice Aida Diongue, Ahmet Ndiaye qui a pris part au vol semble lui tourner le dos. Il constate reclus dans sa chambre qui lui sert de refuge : « maintenant, c’est moi qui suis seul dans cette affaire ».
Abdou Khadre Cissé
Un vol de bijoux et autres numéraires commis chez le président du Sénat avait été ébruité par la presse et au centre de ce larcin figurait bien Hubert Dacosta qui a ensuite fait sa sortie pour se tirer d’affaires. Au lieu des 500 millions avancées, Hubert donnant sa version des faits avait placé la somme de 8 millions 800 non sans pointer un doigt accusateur sur les fils de Pape Diop qui, selon le fugitif sont ses complices, lui n’étant que le receleur. Dacosta ne veut pas être l’agneau du sacrifice dans cette affaire. Même son ami le fils de la sénatrice Aida Diongue, Ahmet Ndiaye qui a pris part au vol semble lui tourner le dos. Il constate reclus dans sa chambre qui lui sert de refuge : « maintenant, c’est moi qui suis seul dans cette affaire ».
Abdou Khadre Cissé