Ce groupe composé essentiellement d’hommes n’est pas d’avis que tous les hommes qui dansent son des gays. « Notre façon de danser n’a rien à voir avec celle des filles », a fait savoir un membre du dudit groupe sur les antennes de Walf Fm. Emboitant le pas à ce dernier, El Hadji Diouf dira : « nous dansons comme de véritables hommes. Je ne vois pas en quoi la danse que nous faisons est assimilable à celle que font les filles ? »
Cependant, son ami reconnait que le milieu de la danse regorge d’hommes qui ne sont pas exempts de reproches. « Des homosexuels, il en existe dans ce milieu et ça personne ne peut le nier », dit-il. Et pour ce dernier, s’ils sont victimes de stigmatisation de la part des populations, c’est la faute à ces danseurs qui ne cachent pas leur penchant pour la gent masculine.
En tout état de cause, les danseuses qui se sont prononcées sur la question ont affiché leur désir de ne pas voir leur fils ou maris faire le même boulot qu’elles dans la mesure où pour Aida Dada, la danse est bannie par la religion. « dafa haraam »,a-t-elle prêché non sans dire les raisons qui font qu’elle y est encore. « Je n’ai pas encore trouvé mieux sinon j’aurai quitté ce milieu depuis longtemps ». Toutefois, la patronne des Lionnes de Dakar promet lors de l'émission Theme de la semaine reprise exclusivement par leral.net et présentée par Mamadou Ndoye Bane de revoir sa façon de danser. « Je ne laisserai plus apparaitre certaines parties de mon corps qui pourraient frustrer les téléspectateurs », a-t-elle promis.
ECOUTEZ LE REPORTAGE DE Mamadou Ndoye Bane
Abdou K. Cissé
Cependant, son ami reconnait que le milieu de la danse regorge d’hommes qui ne sont pas exempts de reproches. « Des homosexuels, il en existe dans ce milieu et ça personne ne peut le nier », dit-il. Et pour ce dernier, s’ils sont victimes de stigmatisation de la part des populations, c’est la faute à ces danseurs qui ne cachent pas leur penchant pour la gent masculine.
En tout état de cause, les danseuses qui se sont prononcées sur la question ont affiché leur désir de ne pas voir leur fils ou maris faire le même boulot qu’elles dans la mesure où pour Aida Dada, la danse est bannie par la religion. « dafa haraam »,a-t-elle prêché non sans dire les raisons qui font qu’elle y est encore. « Je n’ai pas encore trouvé mieux sinon j’aurai quitté ce milieu depuis longtemps ». Toutefois, la patronne des Lionnes de Dakar promet lors de l'émission Theme de la semaine reprise exclusivement par leral.net et présentée par Mamadou Ndoye Bane de revoir sa façon de danser. « Je ne laisserai plus apparaitre certaines parties de mon corps qui pourraient frustrer les téléspectateurs », a-t-elle promis.
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Abdou K. Cissé