Sur les ondes de la Rfm reprise par leral.net, Fatou Laobé a dit ceci : « On a eu des démêlés mais je n’ai jamais douté de sa bonté. Ndèye Marie Ndiaye était une femme irréprochable. Ma première participation au grand Bal de Bercy, je l’ai effectuée à ses cotés. On partageait la même chambre. Je lui ai même offert un vis d’une de mes boucles d’oreilles. Un geste qui lui est allé droit au cœur et lui a fait couler ses larmes. « Fatou Laobé, tu as un grand cœur », m’a-t-elle dit. Elle était certes impulsive mais dans l’instant d’après, elle retrouvait ses esprits. En tout cas, je lui ai pardonné tout le tort qu’elle m’a fait. C’est Satan qui a voulu nous éloigner l’une de l’autre mais je sais en âme et conscience que Ndèye Marie Ndiaye Gawlo est une femme exemplaire. Mais Dieu sait que je ne lui ai jamais souhaité de mal car un artiste ne doit pas être aigri. Je présente mes condoléances à tout le Sénégal. Je puis vous dire que j’ai prié pour elle. J’ai fait des « ihlass » et des « salatou ala nabi » pour elle. Que Dieu ait son âme… »
Abdou K. Cissé
Abdou K. Cissé