Selon ce pater désarçonné qui habite la Sicap Baobab, sa fille qui est âgée de 41 ans s’est liée d’amour avec un homme du même quartier. Mais il se trouve que la mère du copain de sa fille ne voulait pas que son fils épouse cette dernière. « La défunte mère du petit ami de ma fille et ma femme sont des amies qui ont cheminé pendant 18 ans. Mais avant de mourir, elle a clairement dit à ma femme que son fils n’épousera jamais notre fille parce qu’elle ne veut pas de ce mariage entre autres raisons », raconte le vieux. Qui ne veut pas outrepasser la volonté de la défunte.
Mais les deux tourtereaux ont trouvé quelqu’un d’autre pour sceller leur union. L’oncle maternel de la fille a pris les choses en main et a célébré le mariage avec le concours de l’Imam de Baobab. Ce qui n’est pas pour plaire au vieux qui crie sur tous les toits qu’il ne sera jamais en phase avec les décisions prises par l’oncle maternel de sa fille. « Quand je suis allé le voir pour des explications, il m’a insulté et m’a dit qu’il avait donné la main de ma fille », laisse entendre le vieux. Qui veut continuer à avoir un pouvoir de décision sur sa fille qui n’est pas loin d’atteindre la ménopause.
Pour des habitants du quartier, si cet homme ne veut pas de ce mariage, c’est parce qu’il a des choses à cacher. « Il a donné en mariage trois de ses filles à des étrangers. Pourquoi ne veut-il pas que la quatrième se marie avec un sénégalais bon teint qu’elle aime et qui l’aime ? », Se demande ce voisin. Question à laquelle le vieux ne répondra pas tout en recadrant le débat. « Je ne parle pas de mes filles qui se sont déjà mariées avec mon consentement. Je parle de celle qui veut me rabaisser », tonne le père.
En tout état de cause, il continue à clamer que ce mariage est nul et non avenu, fusse-t-il célébré par le plus grand érudit de l'Islam - car n’ayant pas été approuvé par les parents. Mais la question qu'on se pose, c'est à 41 ans, n'est-on pas en mesure de choisir l'élu de son cœur ?
Mais les deux tourtereaux ont trouvé quelqu’un d’autre pour sceller leur union. L’oncle maternel de la fille a pris les choses en main et a célébré le mariage avec le concours de l’Imam de Baobab. Ce qui n’est pas pour plaire au vieux qui crie sur tous les toits qu’il ne sera jamais en phase avec les décisions prises par l’oncle maternel de sa fille. « Quand je suis allé le voir pour des explications, il m’a insulté et m’a dit qu’il avait donné la main de ma fille », laisse entendre le vieux. Qui veut continuer à avoir un pouvoir de décision sur sa fille qui n’est pas loin d’atteindre la ménopause.
Pour des habitants du quartier, si cet homme ne veut pas de ce mariage, c’est parce qu’il a des choses à cacher. « Il a donné en mariage trois de ses filles à des étrangers. Pourquoi ne veut-il pas que la quatrième se marie avec un sénégalais bon teint qu’elle aime et qui l’aime ? », Se demande ce voisin. Question à laquelle le vieux ne répondra pas tout en recadrant le débat. « Je ne parle pas de mes filles qui se sont déjà mariées avec mon consentement. Je parle de celle qui veut me rabaisser », tonne le père.
En tout état de cause, il continue à clamer que ce mariage est nul et non avenu, fusse-t-il célébré par le plus grand érudit de l'Islam - car n’ayant pas été approuvé par les parents. Mais la question qu'on se pose, c'est à 41 ans, n'est-on pas en mesure de choisir l'élu de son cœur ?