Soucieux de la réconciliation nationale qui constitue son cheval de bataille dès son installation à la magistrature suprême, l'ancien Premier ministre prône le pardon, sans oublier le redressement immédiat de notre Nation qu'il porte à coeur. Sur la question du report de l'élection présidentielle et de la reprise du processus brandie surtout par le collectif des recalés, Mahammed Dionne se veut clair : on ne peut obtenir légalement hier, un titre foncier et en être privé aujourd'hui. Puisqu'une commission domaniale l'a juste suggéré. Dionne est un démocrate. Il ne joue pas avec ce que les juristes appellent "les droits acquis". C'est le fondement de son refus de la reprise du processus electoral.
Confiant de l'intégrité des Sages du conseil constitutionnel, l'enfant de Gossas défend bec et ongles, la tenue de la présidentielle avec les 19 candidats déjà retenus. En homme du serail rompu à la tâche, l'ex fonctionnaire des Nations unies renouvelle sa confiance au juges constitutionnels, seuls arbitres du processus électoral et attend d'eux, la fixation de la nouvelle date de l'élection.
Pour Mahammed Dionne, tout autre sujet est diversion. Par respect aux directives et recommandations de son Conseil d'orientation stratégique (COS), avec à sa tête, le ministre Thierno Lô, l'ancien PCA démissionnaire de la Bicis a été catégorique. Que l'élection se tienne et que le meilleur gagne. Conscient de la maturité du peuple souverain du Sénégal qui vote depuis l'époque coloniale, il promet de remporter cette élection présidentielle, haut la main.
Confiant de l'intégrité des Sages du conseil constitutionnel, l'enfant de Gossas défend bec et ongles, la tenue de la présidentielle avec les 19 candidats déjà retenus. En homme du serail rompu à la tâche, l'ex fonctionnaire des Nations unies renouvelle sa confiance au juges constitutionnels, seuls arbitres du processus électoral et attend d'eux, la fixation de la nouvelle date de l'élection.
Pour Mahammed Dionne, tout autre sujet est diversion. Par respect aux directives et recommandations de son Conseil d'orientation stratégique (COS), avec à sa tête, le ministre Thierno Lô, l'ancien PCA démissionnaire de la Bicis a été catégorique. Que l'élection se tienne et que le meilleur gagne. Conscient de la maturité du peuple souverain du Sénégal qui vote depuis l'époque coloniale, il promet de remporter cette élection présidentielle, haut la main.