« Les cérémonies de présentations de condoléances sont des moments d’écoute, de retrouvailles, de recueillement et de relations sociales. Ce sont des moments privilégiés pour lancer un certain nombre de messages. Et généralement, les hommes politiques profitent de ces instants de recueillement pour faire de la politique. Soit pour présenter leur condoléances ; soit pour compatir avec certaines personnalités politiques.
Le fait est fréquent dans les relations humaines, expliquées par les relations sociales où il faut inclure la politique. Donc, on profite des moments de communion ou de recueillement pour lancer un certain nombre de messages en direction de l’opposition ou du pouvoir. On se rend compte que la politique est présente à tout moment, notamment les moments de’ joie ou de tristesse.
Cela permet aussi de renforcer des relations de la communion ; parce qu’il y a une forme de solidarité quand quelqu’un perd une personne chère. Derrière ces moments-là, il y a des rapprochements, des stratégies politiques, qui sont utilisés après ces périodes-là. La pratique politique n’est pas isolée des relations sociales.
Au Sénégal, le fait est fréquent. Même la personne éplorée profite de ce moment pour lancer un appel. On l’a vu lors d’une cérémonie de présentation de condoléances, des hommes politiques lancer des appels et le lendemain, ils sont nommés. On l’a vécu sous l’ère Wade. »
L’Observateur
Le fait est fréquent dans les relations humaines, expliquées par les relations sociales où il faut inclure la politique. Donc, on profite des moments de communion ou de recueillement pour lancer un certain nombre de messages en direction de l’opposition ou du pouvoir. On se rend compte que la politique est présente à tout moment, notamment les moments de’ joie ou de tristesse.
Cela permet aussi de renforcer des relations de la communion ; parce qu’il y a une forme de solidarité quand quelqu’un perd une personne chère. Derrière ces moments-là, il y a des rapprochements, des stratégies politiques, qui sont utilisés après ces périodes-là. La pratique politique n’est pas isolée des relations sociales.
Au Sénégal, le fait est fréquent. Même la personne éplorée profite de ce moment pour lancer un appel. On l’a vu lors d’une cérémonie de présentation de condoléances, des hommes politiques lancer des appels et le lendemain, ils sont nommés. On l’a vécu sous l’ère Wade. »
L’Observateur