« J’ai été insulté, j’ai même été menacé de mor,t pour avoir dénoncé cette dangereuse loi interprétative. Aujourd’hui, le temps me donne raison », a-t-il réagi, visiblement soulagé par ce revirement institutionnel. Pour lui, la plus haute juridiction du pays vient de rappeler une vérité fondamentale : il n’y a pas d’alternative à la justice.
Saluant « la plus prestigieuse juridiction » du pays pour avoir pleinement assumé son rôle, Badara Gadiaga en appelle désormais à tourner la page des calculs politiques : « Mettons-nous au travail et arrêtons la politique politicienne ».
Le chroniqueur a également adressé ses félicitations à l’opposition, à la société civile, à la presse, ainsi qu’à tous ceux qui, selon lui, œuvrent « jour et nuit, pour condamner le blâmable et approuver le convenable ». Il a réservé une mention spéciale aux forces de défense et de sécurité, qu’il estime avoir été injustement prises pour cible dans ce contexte : « Mes respects à ces hommes et femmes que certains voulaient sacrifier sur l’autel de leurs intérêts purement politiciens ».
Cette réaction s’inscrit dans un débat national nourri, où la décision du Conseil constitutionnel pourrait marquer un tournant décisif pour la suite du processus politique et institutionnel.
Saluant « la plus prestigieuse juridiction » du pays pour avoir pleinement assumé son rôle, Badara Gadiaga en appelle désormais à tourner la page des calculs politiques : « Mettons-nous au travail et arrêtons la politique politicienne ».
Le chroniqueur a également adressé ses félicitations à l’opposition, à la société civile, à la presse, ainsi qu’à tous ceux qui, selon lui, œuvrent « jour et nuit, pour condamner le blâmable et approuver le convenable ». Il a réservé une mention spéciale aux forces de défense et de sécurité, qu’il estime avoir été injustement prises pour cible dans ce contexte : « Mes respects à ces hommes et femmes que certains voulaient sacrifier sur l’autel de leurs intérêts purement politiciens ».
Cette réaction s’inscrit dans un débat national nourri, où la décision du Conseil constitutionnel pourrait marquer un tournant décisif pour la suite du processus politique et institutionnel.