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BALDE PRECISE : «Le Commissaire Sadibou Ndiaye est mort en 1987. Je n’étais pas encore « un jeune et brillant officier de police ».

Monsieur le responsable du Site Sénéweb,
Dans un article intitulé « Le bal des Sorciers » daté du Samedi 01 Août 2009 dans votre site et signé par un certain Babacar Touré, journaliste-écrivain, il a été écrit dans le récit narratif de l’auteur revenant sur la mort du Commissaire Sadibou Ndiaye, « Ironie du sort, en cette période-là, il y avait dans ce service un jeune et brillant officier de police du nom de Abdoulaye Baldé qui avait comme ami certain Assane Ndoye et tant d’autres devenus de hauts- cadres de la police. Ils furent tous de fidèles collaborateurs du parti socialiste et sont devenus de loyaux serviteurs du Pds. Comme quoi, « kou def lou reuy, ame lou reuy !» »


Rédigé par leral.net le Mardi 4 Août 2009 à 12:41 | | 7 commentaire(s)|

BALDE PRECISE : «Le Commissaire Sadibou Ndiaye est mort en 1987. Je n’étais pas encore « un jeune et brillant officier de police ».
Et l’auteur d’ajouter, « Après la sortie de Wade, il serait judicieux que ces derniers sortent de leurs réserves coupables et participent à l’éclatement de la vérité ».

Je voudrais porter à la connaissance des internautes que ces propos sont des accusations mensongères, légères et gratuites. Elles sont graves.

1 - Le Commissaire Sadibou Ndiaye est mort en 1987. Je n’étais pas encore « un jeune et brillant officier de police » comme ose le dire Monsieur Touré. À l’époque, j’étais, étudiant en Licence à l’Université de Dakar et je ne connaissais pas le Commissaire Assane Ndoye dont il dit ose dire qu’il était, en ce moment, mon ami.

2 - Je n’ai jamais de ma vie été Officier de police. Je suis sorti de l’ENP en qualité de Commissaire de Police.

3 - Je suis entré à l’Ecole Nationale de Police en 1989. Le Commissaire Assane Ndoye
y enseignait, en virtuose, la Criminologie aux élèves Officiers et Inspecteurs de Police quand je quittais cette Ecole en 1991, quatre ans après le décès du Commissaire Sadibou Ndiaye.

La volonté de nuire et de salir pour discréditer est flagrante. La narration de M. Touré a une dimension fictive et est un entrelacement de confusions et de contrevérités. Quand on tend vers le journalisme d’investigation qui a des exigences et qu’on invite des citoyens à participer à l’éclatement de la vérité, il faut d’abord dire la vérité.

Je prendrai mes responsabilités.


M. Abdoulaye Baldé
Secrétaire Général de la Présidence de la République

Alio Informatique


1.Posté par domou saloum le 04/08/2009 12:58 | Alerter
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mr baldé;il ne faut plus repondre aux menteurs dont le peuple
ne croit plus à aucun de leur texte ;uniqueement pour tromper et mentir trés male

2.Posté par sowelh le 04/08/2009 12:58 | Alerter
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walahi je veux renoncer a ma nationalité a cause a laye wade ki dou niou raye ndayam

3.Posté par domoudiambour le 04/08/2009 13:23 | Alerter
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vraiment c'est la honte des gents qui se disent grand journaliste ecrivain se permet tent de mentir pardon dire tout sauf la verité dans les sénégalais; c"est pour notre pâys quel journaliste !

4.Posté par domoudiambour le 04/08/2009 13:27 | Alerter
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pitié au peuple ;à cause des journalistes maitre chanteur ;regarde comment mr balde a donné des expliqution assez claires;mais il fait que les journaliste arretent si non ils vont tromper les populations non instuites

5.Posté par Diop le 05/08/2009 14:40 | Alerter
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C’est le début du bal des sorciers

Chers Compatriotes, mesdames et messieurs les internautes, c’est avec le sentiment du devoir accompli nous revenons vers vous pour satisfaire à la séance d’explication à laquelle les interventions de M. Babacar Touré, notre doyen et fondateur du groupe Sud Communication, et de M. Abdoulaye Baldé nous obligent. Nous tenons, d’abord, à présenter nos sincères excuses au doyen pour la confusion créée par notre homonymie. Ensuite, puisque toutes nos prises de position et écrits créeront des polémiques et afin de lui éviter la rédaction de futures mises-au-point, nous lui cédons la propriété totale de ce nom dont le symbole n’est plus à présenter. Désormais nous nous présenterons et signerons avec Bacary Touré.
Nous tenons aussi à féliciter M. Abdoulaye Baldé d’avoir, comme nous l’y avons invité, décidé de briser le silence qui caractérise les hommes de l’ombre et d’avoir apporté son témoignage sur cet événement douloureux qu’est la mort la mort du commissaire Sadibou Ndiaye. Cet événement est survenu en 1987 et il était l’un des actes du plan de mise en liquidation de la police. L’affaire Baba Ndiaye, cet homme mort en garde-à-vue, a servi de justificatif pour la bataille de l’opinion publique. Mais la principale raison de la radiation des policiers, nous le maintenons, est la conséquence de leur requête pour bénéficier des mêmes privilèges que les gendarmes.
L’exercice de rappel de faits historiques n’est pas chose facile et le moindre détail a sa valeur; aussi il nous est arrivé de n’avoir pas précisé la date d’entrée de Baldé dans la police. Comme nous n’avons jamais précisé la date de sa rencontre avec le commissaire Assane Ndoye. Nous nous en excusons auprès des lecteurs et auprès d’Abdoulaye Baldé.
Comme il ne dément pas, M. Baldé reconnaît, avec nous, qu’il a bel et bien appartenu à Rondon. Nous n’avons jamais dit que c’est sous le règne de Baldé que le rapport, informant de la mort du commissaire, est parti. Nous avons dit que c’est de ce service qu’est parti le rapport détaillé sur la mort du commissaire vers le palais. C’est un grand mérite que nous lui reconnaissons, car peu de gens peuvent encore oser revendiquer leur appartenance à ce service.
Ayant côtoyé des hommes de l’ombre, nous avons retenu que la divulgation de l’identité et du grade d’un agent compromet toute la chaine de commandement. C’est pourquoi nous avons pris, sur nous, la responsabilité de ne pas préciser le rang de M. Baldé dans la hiérarchie.
Notre démarche, faut-il la préciser, n’est pas de faire de nous les acteurs ou les connaisseurs de cette page noire de l’histoire pays ; nous ne sommes que des observateurs libres et invitons, à l’occasion, les vrais acteurs à s’expliquer. Comme Baldé, nous les invitons, parce qu’ils le doivent au Sénégal, à vider leur sac et à aider à l’éclatement de la vérité.
Nous sommes des Patriotes sans étiquette et notre volonté n’est ni de nuire aux personnes citées dans nos articles ni de les salir encore moins de les discréditer. Nous n’avons rien contre les personnes nommées; ce qui devait nous unir, et qui nous a malheureusement opposés, c’est le Sénégal. Ce bien inestimable que nous ne voulons, pour rien au monde, voir menacer par des flammes que l’irresponsabilité d’Abdoulaye Wade aura causées.
Nous prenons acte de la décision de M. Baldé de prendre ses responsabilités et invitons tous ceux qui détiennent ne serait-ce qu’un bout de ce puzzle, et afin que la mort du commissaire ne soit pas vaine, à briser le silence pour que commence «le bal des sorciers».
Bacary Touré
Journaliste-écrivain
kimikikiko@yahoo.fr

6.Posté par mouna le 05/08/2009 15:12 | Alerter
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je me demande depuis des jours et des jours ce que veulent les sénégalais et se qui nous attend à l'avenir avec tout ses mensonges qu'on entend tout les jours. je ne suis pas politicien mais quand Senghor quittait le pouvoir n'est pas que tout ces gens qui se disent aimer le peuple étaient là et applaudissaient. je suis vraiment désolée mais je préfère milles fois Wade et Cie que vous qui dites soit disant aimer le peuple hypocrisie totale vos bourse plutôt .sénégalais arrêtez de vous intéresser au supperficiel.

7.Posté par majmoud le 05/08/2009 19:30 | Alerter
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Ce que veulent les sénégalais c'est de vivre libres et égaux dans une république
prospére.Et pour cela il est urgent de balayer le tas d'ordures composé de A.Wade et de ses acolytes qui ont fini de démontrer au monde entier leur perfidie et leur incompétence.
LA SEULE VERITE QUI VAILLE LA PEINE D'ETRE DITE:C'EST QUE WADE ET SES
COMPLICES ONT PILLE LE SENEGAL .
AUX SENEGALAIS DE PRENDRE LEURS RESPONSABILITES.

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