24 heures après les affrontements de kaolack, le bilan s’est ainsi soldé par un mort dans chaque camp des protagonistes, a t-on appris de bonnes sources, mercredi.
Ainsi, le brigadier chef, Bocar Samba Dème dit Racine a succombé, peu avant 6h à ses blessures, à l’hôpital Elhadji Ibrahima Niasse, où il était admis en réanimation avec d’autres collègues également blessés par armes blanches.
L’autre victime, Moussa Sidibé, 25 ans, se serait suicidé en se jetant sous un camion citerne, en milieu de matinée. Membre de la famille Sidibé, qu’on cherchait à déguerpir, certains le présentent comme un étudiant établi à l’étranger, tandis que d’autres, il est un élève de Terminale au lycée Valdiodio Ndiaye de Kaolack.
Pour rappel, l’application d’une décision de justice a dégénéré en bataille rangée, entre policiers et membres de la famille. De violents affrontements s’en étaient suivis, affrontements au cours desquels, on avait noté 5 blessés du côté de la police ,et deux, du côté de la dite famille. Les policiers, accompagnés d’un huissier de justice, avaient alors tenté de déguerpir la famille, mais c’était sans compter avec la détermination des Sidibé, de ne pas céder.
La maison de la famille Sidibé avait en effet été hypothéquée, suite à un prêt de cinq millions contracté par leur défunt père. Son neveu immigré ayant épongé la dette, se considère comme le nouveau propriétaire de la maison et a eu recours à la justice pour rentrer dans ses droits.
Ainsi, le brigadier chef, Bocar Samba Dème dit Racine a succombé, peu avant 6h à ses blessures, à l’hôpital Elhadji Ibrahima Niasse, où il était admis en réanimation avec d’autres collègues également blessés par armes blanches.
L’autre victime, Moussa Sidibé, 25 ans, se serait suicidé en se jetant sous un camion citerne, en milieu de matinée. Membre de la famille Sidibé, qu’on cherchait à déguerpir, certains le présentent comme un étudiant établi à l’étranger, tandis que d’autres, il est un élève de Terminale au lycée Valdiodio Ndiaye de Kaolack.
Pour rappel, l’application d’une décision de justice a dégénéré en bataille rangée, entre policiers et membres de la famille. De violents affrontements s’en étaient suivis, affrontements au cours desquels, on avait noté 5 blessés du côté de la police ,et deux, du côté de la dite famille. Les policiers, accompagnés d’un huissier de justice, avaient alors tenté de déguerpir la famille, mais c’était sans compter avec la détermination des Sidibé, de ne pas céder.
La maison de la famille Sidibé avait en effet été hypothéquée, suite à un prêt de cinq millions contracté par leur défunt père. Son neveu immigré ayant épongé la dette, se considère comme le nouveau propriétaire de la maison et a eu recours à la justice pour rentrer dans ses droits.