«Il n'y a pas plus important qu'une agence de presse pour un pays» aspirant au développement, a-t-il dit, en recevant le Directeur général de l'Aps, Thierno Amadou Sy, accompagné de plusieurs de ses collaborateurs.
Babacar Diagne affirme avoir toujours milité «pour une agence renforcée dans laquelle l'État doit mettre des financements publics importants». Dans cette optique, a-t-il indiqué, l'Aps «doit être bien connue et citée. Il y a un travail de positionnement nouveau à faire», pour qu'elle puisse davantage intéresser les rédactions et «les nouveaux médias».
Il considère que face aux «menaces des nouveaux médias» et des réseaux sociaux notamment, «concurrents directs de l'agence», l'Aps a un travail de repositionnement à faire pour «être sur le web et dans le web».
À ses yeux, l'Agence de presse sénégalaise (Aps) «doit être la première sur certaines choses», en jouant sur la «i[flexibilité qui [lui] permet d'être partout. […]]i».
«Quand l'Aps est solide et présente sur le terrain, elle est plus crédible mais l'État doit s'y mettre», a insisté Babacar Diagne.
Babacar Diagne affirme avoir toujours milité «pour une agence renforcée dans laquelle l'État doit mettre des financements publics importants». Dans cette optique, a-t-il indiqué, l'Aps «doit être bien connue et citée. Il y a un travail de positionnement nouveau à faire», pour qu'elle puisse davantage intéresser les rédactions et «les nouveaux médias».
Il considère que face aux «menaces des nouveaux médias» et des réseaux sociaux notamment, «concurrents directs de l'agence», l'Aps a un travail de repositionnement à faire pour «être sur le web et dans le web».
À ses yeux, l'Agence de presse sénégalaise (Aps) «doit être la première sur certaines choses», en jouant sur la «i[flexibilité qui [lui] permet d'être partout. […]]i».
«Quand l'Aps est solide et présente sur le terrain, elle est plus crédible mais l'État doit s'y mettre», a insisté Babacar Diagne.