Babacar Mbaye Ngaraaf : "Moustapha Niasse va larguer Malick Gakou pour offrir l'Afp à Macky sur un plateau d'argent"

Ça c'est vrais et tout le monde le sait ,niass. Déçu tout le Sénégal .il ne sait pas que maky sall est déjà vaumis .maky égal 1 mandat

Il faut meme pas vous fatiguer à surveiller mr niass .maky sall ne fera qun seul mandat .5 ans même c'est trop..ils ont déjà échoué .

Je ne serai pas aussi affirmatif que monsieur Mbaye, mais ce que je sais, d’après mes analyses sur les actions que pose Monsieur Moustapha Niasse depuis 2000 relative à la vie du parti, à son animation; à son orientation vers les événements futurs corroborent vers cette thèse. Il semble que Monsieur Niasse n'aime les jeunes, car il ne milite ou il n'a jamais milité pour la promotion des jeunes de l'AFP. A ce que je sache je n'ai jamais entendu ou vu un jeune de l'AFP être dans des postes stratégiques aussi bien au sein du parti que dans les structures de l'Etat (aucun dans le bureau politique, aucun député, aucun directeur de société et aucun ministre). Et pourtant le parti regorge de jeunes cadres bien formés, talentueux et qui maîtrisent bien les spécificités culturelles, religieuses et sociales du Pays. Il est temps que Monsieur Moustapha Niasse quitte la direction du parti au profit des jeunes.Léopold Sédar Senghor avait donné à Niasse, Djibo et à Tanor une chance pour qu'il devienne aujourd'hui ce qu'il sont. Alors pourquoi il ne le fait pas pour la jeunesse de son parti.
C'est pourquoi, les jeunes de l'AFP doivent prendre leur responsabilité pour exiger son départ à la tête de la direction du parti sans délai pour donner un nouveau souffle. L’AFP avait la chance d’arriver au pouvoir en 2000 et 2012 mais le parti souffrait d’un mauvais coaching.
L'AFP est un grand parti, un parti massif qui a déjà une assise nationale profonde. C’est pourquoi il doit jouer un grand rôle dans l’échiquier politique national, il doit s’orienter vers la conquête démocratique du pouvoir. Et pour le réaliser il faut une autre vision beaucoup plus adaptée au contexte actuel du pays et du monde.
Si ces dirigeants actuels s’accrochent à la direction pour garder leurs privilèges, il ne faut pas s’étonner de voir le parti mourir sa belle mort.

SUR LE TERRAIN
L’Alpha et l’Omega de la politique en Démocratie c’est l’efficacité au service des populations. Dès lors la seule vérité qui compte est celle du terrain pour résoudre les problèmes auxquels sont confrontés les citoyens. L’urgence ces derniers jours concerne les dégâts causés par les inondations partout dans le pays et en particulier dans la banlieue dakaroise.
Une appréciation objective de la situation oblige à constater l’omniprésence des agents de l’Etat sur le terrain. C’est dire que le chef de l’Etat et son gouvernement ont pris la mesure des évènements et ont réagi avec célérité pour soulager les habitants des zones sinistrées.
En agissant de la sorte les autorités ne font que leur travail, leur devoir ; mais on peut s’en féliciter et les encourager à redoubler d’efforts.
En effet, si la gestion des inondations a souvent été critiquée à juste raison, il est compréhensible qu’on puisse décerner un satisfécit, pour une fois que la bonne décision a été prise, et à temps, d’investir le terrain massivement et avec des moyens conséquents y compris ceux de l’Armée Nationale.
A situation d’urgence, action d’urgence et, surtout mobilisation exceptionnelle de tous. C’est pourquoi le Premier Ministre Mimi Touré a mis l’accent sur la solidarité en introduisant sa conférence de presse d’hier. Et elle a bien précisé qu’il s’agissait d’une solidarité d’action, une mobilisation conséquente des citoyens sans distinction aucune.
Faut-il préciser que l’heure n’est guère aux vaines querelles politiciennes ? L’Etat est au service de tous et faire face aux calamités naturelles est notre affaire à tous. Du reste l’actualité internationale met en exergue aussi, entre autres, les terribles inondations dans le Colorado, aux Etats-Unis, et à côté de chez nous au Mali.
Evidemment apprécier positivement l’action du Gouvernement n’est pas un acte neutre ; mais il ne signifie pas abdiquer son esprit critique. Des travaux sont en cours et des options ont été prises pour trouver des solutions efficaces contre les inondations. Leur efficacité véritable pourrait être mise à l’épreuve l’année prochaine. Alors on jugera.
Pour l’heure l’action sur le terrain produit des résultats probants même si de la RESILIENCE et de la PATIENCE sont nécessaires comme l’a fait remarquer le Premier Ministre.
Pourtant il est réjouissant de constater la dynamique enclenchée qui témoigne d’une clairvoyance politique réelle. Macky est l’élu du peuple qui souffre et qui espère. Ce peuple là attend des résultats et accueille à bras ouverts toutes les initiatives dont le but est de prendre en charge ses besoins. Il a conscience que tout ne peut être fait en un an ou deux ; mais l’engagement et la bonne volonté doivent se traduire en actes concrets. Lui rendre visite en ce moment est un acte de solidarité perçu et apprécié comme tel. C’est pourquoi la visite de Mme Marième Faye Sall, la Première Dame dans les zones inondées de la banlieue de Dakar est une initiative heureuse d’une haute portée symbolique. Elle n’a pas daigné patauger dans l’eau pour tendre une main chaleureuse aux personnes sinistrées. Ce geste mérite d’être salué. Et devrait exhorter toutes les bonnes volontés à poser des actes de solidarité authentique en faveur des populations éprouvées : sous forme d’investissement humain, de mise à disposition de motopompes, d’encadrement de jeunes volontaires pour participer aux travaux de drainage des eaux etc.
L’évident est qu’aucun gouvernement ne s’en sortira s’il n’arrive pas à mobiliser les populations pour prendre en charge les questions d’assainissement, d’hygiène publique, de protection de l’environnement, de sécurisation du cadre de vie en général, d’éducation etc. Avec le soutien de l’Etat et la mise en place de moyens, notamment financiers.
Ce peuple qui a voulu le changement du 25 Mars 2012 et qui s’est mobilisé pour le réaliser est encore disponible pour transformer le pays positivement.
Au leadership de donner le la et d’agir en conséquence. Le Président Macky Sall et son Premier Ministre ont bien compris le message.

Mouhamadou M. Dia
Prof de Philo - journaliste

@samakhalate il y a 1 minute (12:04 PM)
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Ce qu'il y'a d'admirable dans votre démarche, c'est qu' au moins vous, vous tentez d'enrober de réflexions, certes superficielles mais de réflexions tout de même, votre position. Vous mélangez raison et sentiments (Niasse n'aime pas les jeunes) ce qui vous aurait valu en dissertation de philo quelques observations peu amènes.
Encore une fois, la jeunesse n'est pas une vertu ni le grand âge une tare. J'observe, pour le souligner, que les défenseurs d'une énième candidature de Wade sont les hérauts du "jeunisme". Il vaudrait donc mieux parler de renouvellement du personnel politique et dans ce cas s'assurer que ce renouvellement sera porteur de progrès en ce sens qu'il permettrait à la politique de gagner en qualité, en honnêteté, en probité, en moralité, de vision, de projets de société? Êtes-vous sûrs que les défenseurs du pandémonium "jeuniste" répondent sérieusement à ses critères?
On ne bâtit une ambition politique sur une songerie égocentrique. Que l'AFP dès 2000 soit devenue le centre de gravité de la vie démocratique du Sénégal et l'élément essentiel et catalyseur de toute alternance, j'allais dire de toute alternative, à qui le doit-elle? Que l'AFP grâce aux ressurces et aux ressorts d'un homme ait pu révélé des personnalités politiques et hèlas des personnages, n'a t-il pas participer au renouvellement du personnel politique?
John Maccain ci-devant actif sénateur républicain de 3 ans l'aîné de Niasse, John Kerry ci-devant Secretaire d'Etat est de 3 ans son cadet, Juppé de 4 ans, Fabius de 6 ans. La génération de Niasse est encore aux affaires. Ce n'est donc pas une question d'âge. Je ne rappellerai pas les cas de Clemenceau, de Churchill, de Reagan (Vainqueurs des 1ère, 2ème, et 3ème Guerre Mondiale; la 3ème étant la Guerre Froide). Les Michel Noir, Alain Carignon et compagnie ont tenté l'expérience dite des "quadras" contre les Chirac et Barre. Vous devez connaître la suite. Au final, ce n'est pas l'âge mais la qualité, l'épaisseur, la vision, le projet, la loyauté et la rigueur morale qui font d'un citoyen non pas un politicien, plus qu'un homme politique, un homme d'Etat. Au delà du destin entre les mains de Dieu, la longévité en politique tient aussi de cette vertu cardinale entre toutes: la patience! (Inalaha maa sabirine: Dieu est avec les patients). Enfin, la position des personnages insignifiants sur l'activité ou la retraite de ceux qu'ils pensent entraver leurs folles ambitions, n'a pas été validée par le suffrage universel, indicateur par excellence en démocratie. Pendant que les "personnages" créés par l'AFP se signalent par des campagne de presse et des injures sur les forums pour venger leurs prétentions avortées et leurs rêves évanouis, il est heureux de voir les "personnalités" révélées par l'AFP participer à la gestion de la Cité.

en tout cas vu l'analyse de M. mbaye ngaraaf tous les jeunes doivent tirer d'avantage au sein de leur formation politique pour mieux maitriser leur avenir politique Merci monsieur Babacar Mbaye Ngaraaf