Le stade Léopold Sedar Senghor était plein comme un œuf lors de cette alléchante affiche. C’était un chaud derby Pikine-Fass. Naturellement, l’affrontement avait cristallisé toutes les attentions des amateurs. Le désormais ancien chef de file de l’écurie Haal Pulaar revient sur cette héroïque victoire sur le protégé de Tapha Guèye. « J’étais convaincu que Gris Bordeaux n’était pas plus fort que moi et n’avait pas plus de force physique que moi », sourit Baboye, soutenant que le 3e tigre de Fass ne l’avait pas pris au sérieux : « (Dafa naagouwone) il était trop sûr de lui. Je savais ce que j’avais à faire. Et je m’étais mis au travail avec sérieux et engagement. »
A propos du secret de sa belle victoire, le Marodi révèle : « je me suis retiré dans mon coin pour bien bosser. Je me levais à 3h du matin pour commencer à affûter mes armes. Je portais un caleçon pour m’entraîner à la plage. Je faisais des marches de canard, des exercices intenses et durs pour être au top niveau. »
Coté mystique, l’enfant de Pikine laisse entendre qu’il s’était rapproché de ses marabouts du Fouta et de Touba pour bien se blinder. Des efforts qui ont porté leurs fruits au point que Baboye range ce combat parmi ceux qui l’ont le plus marqué dans sa prestigieuse carrière.
Source : Sunu Lamb
A propos du secret de sa belle victoire, le Marodi révèle : « je me suis retiré dans mon coin pour bien bosser. Je me levais à 3h du matin pour commencer à affûter mes armes. Je portais un caleçon pour m’entraîner à la plage. Je faisais des marches de canard, des exercices intenses et durs pour être au top niveau. »
Coté mystique, l’enfant de Pikine laisse entendre qu’il s’était rapproché de ses marabouts du Fouta et de Touba pour bien se blinder. Des efforts qui ont porté leurs fruits au point que Baboye range ce combat parmi ceux qui l’ont le plus marqué dans sa prestigieuse carrière.
Source : Sunu Lamb