Le secrétaire général du Syndicat national des professionnels de l’information et de la communication (SYMPICS) n’a pas raté les patrons de presse. Face au président de la République pour la traditionnelle cérémonie de remise de cahier de doléances ce 1er mai, Bamba Kassé a dénoncé le comportement déplorable de certains patrons de presse.
«L’autre phénomène qui rend compte de la précarité de la presse est la situation de déliquescence dans laquelle se trouvent la plupart des jeunes reporters, laissés à eux-mêmes à la merci de patrons de presse qui ne leur assurent parfois même pas de contrat de travail.
Beaucoup de patrons de presse pas tous heureusement, sont des délinquants à col blanc qui abusent de leur station, et prennent en otage leurs journalistes, avec la complicité passive de l’Etat qui ne sévit jamais, ou presque.
Ces patrons de presse émargent allègrement au registre de l’aide de presse, encaissent de la publicité et bénéficient même d’une Amnistie fiscale, sans pour autant payer les impôts, sans reverser les cotisations sociales, sans même assurer une couverture médicale minimale à leurs travailleurs.»
Le quotidien
«L’autre phénomène qui rend compte de la précarité de la presse est la situation de déliquescence dans laquelle se trouvent la plupart des jeunes reporters, laissés à eux-mêmes à la merci de patrons de presse qui ne leur assurent parfois même pas de contrat de travail.
Beaucoup de patrons de presse pas tous heureusement, sont des délinquants à col blanc qui abusent de leur station, et prennent en otage leurs journalistes, avec la complicité passive de l’Etat qui ne sévit jamais, ou presque.
Ces patrons de presse émargent allègrement au registre de l’aide de presse, encaissent de la publicité et bénéficient même d’une Amnistie fiscale, sans pour autant payer les impôts, sans reverser les cotisations sociales, sans même assurer une couverture médicale minimale à leurs travailleurs.»
Le quotidien